Une hausse qui devrait impacter principalement les liaisons européennes et non les liaisons Paris-Outremer explique-t-il, prenant l’exemple des Antilles où un aller-retour Paris-Antilles « est moins cher qu’un Paris-Athènes ou Paris-Rome », en raison d’une « forte concurrence entre opérateurs ».
Marc Rochet se montre néanmoins plus optimiste concernant le reprise du trafic aérien et constate même « une certaine dynamique » avec des engagements « sans doute supérieurs à ceux de 2019 ».