Après les dégâts de la tempête Ava, le passage de Berguitta a apporté son lot de désolations. Avant l’arrivée de cette tempête, il était déjà difficile de se fournir en produits frais et les prix étaient déjà très élevés. Par exemple, une laitue ordinaire coûtait plus d’un euro. Des paquets de brèles se vendaient à plus de 1,20 euro. Cela sera encore plus grave demain.
Une fois Berguitta au loin, à l’heure d’évaluer les dégâts, il est clair que ce seront les plus pauvres qui auront subi les plus grandes pertes. À ce malheur ne doit pas s’ajouter celui d’être privé de produits frais à cause de prix excessifs.
C’est pourquoi le PCR appelle tous les acteurs de la chaîne de production, transformation et distribution à la solidarité. Ne pas profiter des conséquences du cyclone pour augmenter les prix.