
Le communiqué :
Le CPCS, interprofession de la filière canne-sucre, est toujours dans l’attente d’une réponse officielle du gouvernement concernant la demande d’accompagnement complémentaire à hauteur de 35 M€ formulée par les professionnels de la filière canne-sucre pour assurer sa pérennité. Cette attente devient préjudiciable alors que le cadre économique et juridique doit être clair pour pouvoir négocier une Convention Canne sur la période 2022-2027.
Un article paru dans la presse locale ce jour indique que le gouvernement confirmerait son engagement de principe en faveur des planteurs, sans pour autant en définir le montant ni les modalités et sans apporter plus de précisions en ce qui concerne le volet industriel.
Nous rappelons que les deux maillons de la chaine que sont les planteurs et les industriels sont indissociables : l’avenir des uns est nécessairement lié à l’avenir des autres. Il est donc impératif que l’Etat se positionne clairement, rapidement et formellement sur ces deux volets.
En ce sens, les co-présidents ont écrit en date du 11 mars 2022 au Premier ministre. Ils rendent publique cette correspondance en copie de ce communiqué.
Le CPCS, interprofession de la filière canne-sucre, est toujours dans l’attente d’une réponse officielle du gouvernement concernant la demande d’accompagnement complémentaire à hauteur de 35 M€ formulée par les professionnels de la filière canne-sucre pour assurer sa pérennité. Cette attente devient préjudiciable alors que le cadre économique et juridique doit être clair pour pouvoir négocier une Convention Canne sur la période 2022-2027.
Un article paru dans la presse locale ce jour indique que le gouvernement confirmerait son engagement de principe en faveur des planteurs, sans pour autant en définir le montant ni les modalités et sans apporter plus de précisions en ce qui concerne le volet industriel.
Nous rappelons que les deux maillons de la chaine que sont les planteurs et les industriels sont indissociables : l’avenir des uns est nécessairement lié à l’avenir des autres. Il est donc impératif que l’Etat se positionne clairement, rapidement et formellement sur ces deux volets.
En ce sens, les co-présidents ont écrit en date du 11 mars 2022 au Premier ministre. Ils rendent publique cette correspondance en copie de ce communiqué.