Suite à l’annonce des maires de droite de mettre leur personnel en congés, et donc par conséquent, d’entraver les services auprès des élèves ce lundi 10 novembre, le député Jean-Jacques Vlody rappelle que le maire est le garant du bon fonctionnement des écoles et de leur sécurité.
"La volonté de certains maires d’instrumentaliser l’école à des fins politiciennes va à l’encontre des grands principes républicains qui régissent notre système éducatif et il est inadmissible de se servir de l’école, des élèves et par conséquent des familles pour de tels motifs", dénonce le député de la 3e circonscription.
Jean-Jacques Vlody s’insurge par ailleurs contre une utilisation abusive du droit de grève qui est "un droit constitutionnel et qui est licite uniquement lorsque les revendications à l’origine de la grève sont d’ordre professionnel. Toute grève pour raisons politiques est donc interdite".
Rappelons que la grève annoncée ce lundi concerne des revendications sur les dotations des communes et "émane des maires eux-mêmes sans que les agents des collectivités n’aient la possibilité de décider d’y participer ou pas".
Jean-Jacques Vlody dénonce par conséquent "une usurpation du droit de grève au profit d’intérêts purement politiciens".
"La volonté de certains maires d’instrumentaliser l’école à des fins politiciennes va à l’encontre des grands principes républicains qui régissent notre système éducatif et il est inadmissible de se servir de l’école, des élèves et par conséquent des familles pour de tels motifs", dénonce le député de la 3e circonscription.
Jean-Jacques Vlody s’insurge par ailleurs contre une utilisation abusive du droit de grève qui est "un droit constitutionnel et qui est licite uniquement lorsque les revendications à l’origine de la grève sont d’ordre professionnel. Toute grève pour raisons politiques est donc interdite".
Rappelons que la grève annoncée ce lundi concerne des revendications sur les dotations des communes et "émane des maires eux-mêmes sans que les agents des collectivités n’aient la possibilité de décider d’y participer ou pas".
Jean-Jacques Vlody dénonce par conséquent "une usurpation du droit de grève au profit d’intérêts purement politiciens".