Presque 6 ans après le mouvement #MeToo, rappelons-le, mobilisation qui a rassemblé des millions de femmes dans le monde entier encourageant les victimes de violences sexistes et sexuelles à partager leurs expériences. A la Réunion, on tente de faire taire les femmes qui osent dénoncer les chantages et la position de dirigeant pour obtenir des faveurs sexuelles.
Alors qu’une vingtaine de femmes, de 17 à 35 ans, avaient franchi le pas de la dénonciation de propositions indécentes, voire des gestes déplacés sur une dizaine d'années dont quatre dépôts de plainte, deux d’entre elles se retrouvent trainées en justice pour diffamation. Nous, association de lutte pour le droit des femmes, condamnons cette procédure grotesque qui n’a pour but que de faire peur et taire ces victimes et toutes celles qui oseraient franchir le pas en dénonçant les abus de pouvoir qu’exercent les dirigeants sur les femmes afin d’obtenir des faveurs sexuelles.
Mesdames, nous vous croyons, vous n’êtes pas coupables ! Le coupable, c’est lui ! Celui, qui a osé un jour, vous prendre de force, vous rabaisser, vous manipuler et nous ne citerons pas tous les détails des plus dégradants.
Nous encourageons vivement toutes les victimes de ces hommes de pouvoir à prendre la parole et à dénoncer l’inacceptable.
De plus, nous saluons et soutenons le travail exemplaire que fournit le CEVIF depuis une quinzaine d’années auprès des femmes victimes de violences. Il est intolérable de vouloir s’attaquer à un collectif qui lutte pour l’élimination des violences intra-familiales.
Ce jeudi 02 mars 2023 à 13h45 au Tribunal Judiciaire de St Denis, nous serons aux cotés de ces femmes admirables et du CEVIF.
Rejoignez-nous, mobilisez-vous, dites non et stop à ces hommes qui se croient au-dessus des lois !
Alors qu’une vingtaine de femmes, de 17 à 35 ans, avaient franchi le pas de la dénonciation de propositions indécentes, voire des gestes déplacés sur une dizaine d'années dont quatre dépôts de plainte, deux d’entre elles se retrouvent trainées en justice pour diffamation. Nous, association de lutte pour le droit des femmes, condamnons cette procédure grotesque qui n’a pour but que de faire peur et taire ces victimes et toutes celles qui oseraient franchir le pas en dénonçant les abus de pouvoir qu’exercent les dirigeants sur les femmes afin d’obtenir des faveurs sexuelles.
Mesdames, nous vous croyons, vous n’êtes pas coupables ! Le coupable, c’est lui ! Celui, qui a osé un jour, vous prendre de force, vous rabaisser, vous manipuler et nous ne citerons pas tous les détails des plus dégradants.
Nous encourageons vivement toutes les victimes de ces hommes de pouvoir à prendre la parole et à dénoncer l’inacceptable.
De plus, nous saluons et soutenons le travail exemplaire que fournit le CEVIF depuis une quinzaine d’années auprès des femmes victimes de violences. Il est intolérable de vouloir s’attaquer à un collectif qui lutte pour l’élimination des violences intra-familiales.
Ce jeudi 02 mars 2023 à 13h45 au Tribunal Judiciaire de St Denis, nous serons aux cotés de ces femmes admirables et du CEVIF.
Rejoignez-nous, mobilisez-vous, dites non et stop à ces hommes qui se croient au-dessus des lois !