
C’est avec une grande tristesse que nous apprenons la mort de Lise-May, sauvagement poignardée.
L’Union des Femmes Réunionnaises adresse ses condoléances attristées à sa famille et à ses proches.
Nos pensées vont vers ses parents et ses enfants ont vu se dérouler sous leurs yeux l’enfer de la violence conjugale qui a terrorisé leur fille, leur sœur, leur mère, jusqu’à la tuer.
Ce meurtre vient rallonger la liste insupportable des féminicides. Lise-May comme de nombreuses victimes avait dénoncé les violences et les menaces. Elle avait alerté sur le danger qu’elle encourait. Elle en était consciente. Elle a vécu ses derniers instants dans la terreur et la douleur. Beaucoup de victimes se reconnaissent dans le parcours de cette Saint-Josephoise. Force est de constater que les moyens mis en œuvre contre les violences faites aux femmes, cette grande cause du quinquennat, sont mis en défaut.
La mort de Lise-May nous rappelle que les violences faites aux femmes sont multiples. Elles sont le fruit d’inégalités sociales y compris salariales dont sont victimes les femmes.
L’UFR dénonce ce sentiment de domination qui prévaut encore et qui fait des ravages allant jusqu’au meurtre des femmes. Malgré ce que persistent à dire certains, une femme n’est pas un butin; elle a droit à la sécurité et à toutes les libertés fondamentales, y compris celle de vouloir vivre comme elle l’entend. La mobilisation de tous est indispensable pour renverser le sexisme derrière lequel se cache la violence à l’égard des femmes
L’Union des Femmes Réunionnaises adresse ses condoléances attristées à sa famille et à ses proches.
Nos pensées vont vers ses parents et ses enfants ont vu se dérouler sous leurs yeux l’enfer de la violence conjugale qui a terrorisé leur fille, leur sœur, leur mère, jusqu’à la tuer.
Ce meurtre vient rallonger la liste insupportable des féminicides. Lise-May comme de nombreuses victimes avait dénoncé les violences et les menaces. Elle avait alerté sur le danger qu’elle encourait. Elle en était consciente. Elle a vécu ses derniers instants dans la terreur et la douleur. Beaucoup de victimes se reconnaissent dans le parcours de cette Saint-Josephoise. Force est de constater que les moyens mis en œuvre contre les violences faites aux femmes, cette grande cause du quinquennat, sont mis en défaut.
La mort de Lise-May nous rappelle que les violences faites aux femmes sont multiples. Elles sont le fruit d’inégalités sociales y compris salariales dont sont victimes les femmes.
L’UFR dénonce ce sentiment de domination qui prévaut encore et qui fait des ravages allant jusqu’au meurtre des femmes. Malgré ce que persistent à dire certains, une femme n’est pas un butin; elle a droit à la sécurité et à toutes les libertés fondamentales, y compris celle de vouloir vivre comme elle l’entend. La mobilisation de tous est indispensable pour renverser le sexisme derrière lequel se cache la violence à l’égard des femmes