
Photo d'archives
Mohamed Salim Rangila était de nouveau dans le box des accusés.
Le commerçant dionysien est soupçonné d'avoir confectionné avec un mystérieux "collaborateur" africain de faux laissez-passer de l'ONU.
Déjà condamné pour agressions sexuelles, fraude à l'assurance, et mis en examen dans une affaire de proxénétisme, Mohamed Salim Rangila sera jugé aujourd'hui au tribunal correctionnel en comparution immédiate.
Il risque jusqu'à 3 ans de prison et 45 000 euros d'amende. Le procès a finalement été renvoyé au 25 octobre prochain. Mohamed Salim Rangila reste donc en détention.
Le commerçant dionysien est soupçonné d'avoir confectionné avec un mystérieux "collaborateur" africain de faux laissez-passer de l'ONU.
Déjà condamné pour agressions sexuelles, fraude à l'assurance, et mis en examen dans une affaire de proxénétisme, Mohamed Salim Rangila sera jugé aujourd'hui au tribunal correctionnel en comparution immédiate.
Il risque jusqu'à 3 ans de prison et 45 000 euros d'amende. Le procès a finalement été renvoyé au 25 octobre prochain. Mohamed Salim Rangila reste donc en détention.