Les élus du Conseil départemental sont réunis ce mercredi matin au Palais de la Source par le président Cyrille Melchior.
La Commission permanente doit officialiser les aides débloquées par la collectivité, chef de fil des affaires agricoles, en faveur des professionnels touchés par la tempête Fakir.
Les aides exceptionnelles sont d’un montant de 2.374.000 euros en faveur de l’agriculture. Ce montant vient en complément des aides déjà accordées lors des événement climatiques Berguitta et Dumazile. Rappelons que Jean-Bernard Gonthier, le président de la chambre d'agriculture a lui chiffré les dégâts causés par la forte tempête tropicale à "plus de 7 millions d'euros", tout en ajoutant qu’il ne s’agissait que d’un "bilan provisoire".
Cette enveloppe atteint, dans le détail, 475.000 euros pour les cultures sous abris, fortement dégradées par le passage de la tempête, ou encore 400.000 euros pour la remise en culture des productions les plus fragiles (bananes, papayes,…). 100 hectares ont été touchés selon les premières évaluations. L’aide personnalisée par exploitation pourra atteindre 4000 euros par hectare. Le Conseil départemental affirme que l'aide pourra être accordée 1 mois après le dépôt des dossiers.
La Commission permanente doit officialiser les aides débloquées par la collectivité, chef de fil des affaires agricoles, en faveur des professionnels touchés par la tempête Fakir.
Les aides exceptionnelles sont d’un montant de 2.374.000 euros en faveur de l’agriculture. Ce montant vient en complément des aides déjà accordées lors des événement climatiques Berguitta et Dumazile. Rappelons que Jean-Bernard Gonthier, le président de la chambre d'agriculture a lui chiffré les dégâts causés par la forte tempête tropicale à "plus de 7 millions d'euros", tout en ajoutant qu’il ne s’agissait que d’un "bilan provisoire".
Cette enveloppe atteint, dans le détail, 475.000 euros pour les cultures sous abris, fortement dégradées par le passage de la tempête, ou encore 400.000 euros pour la remise en culture des productions les plus fragiles (bananes, papayes,…). 100 hectares ont été touchés selon les premières évaluations. L’aide personnalisée par exploitation pourra atteindre 4000 euros par hectare. Le Conseil départemental affirme que l'aide pourra être accordée 1 mois après le dépôt des dossiers.
Par ailleurs, pour leur permettre de traverser cette mauvaise passe, les agriculteurs sinistrés pourront bénéficier d’un RSA activité pendant un délai de 4 mois, le temps d’être dans la capacité de relancer leur activité.
Ces dispositifs d'aide exceptionnelle sont pris sur les fonds propres du Département, a tenu à faire savoir le président Melchior.
En faveur des collèges, plus de 2 millions d’euros ont été votés en procédure d’urgence. Dans le détail, le soutien exceptionnel en petits travaux atteint 2 millions d’euros, 127.000 euros pour les besoins en équipement (chaises, tables, matériels informatiques,…) et 40.000 euros en fonctionnement.
Rappelons que dans le champ des compétences du Département se trouve aussi la gestion du bâti des collèges. Les dégâts causés au collège Bédier de Saint-André par la tempête Fakir ont eux aussi été budgétisé à 2,5 millions d’euros. Rappelons que le collège de Saint-André, assurément le plus touché, avait été traversé par une coulée de boue. Mais "tous les collèges ont été touchés", ont rappelé les élus.
Autre collectivité concernée cette fois, le Conseil régional, gestionnaire des routes nationales, avait quant à lui estimé à 4,5 millions d'euros le montant des sommes nécessaires à la remise en état des routes.
Ces dispositifs d'aide exceptionnelle sont pris sur les fonds propres du Département, a tenu à faire savoir le président Melchior.
En faveur des collèges, plus de 2 millions d’euros ont été votés en procédure d’urgence. Dans le détail, le soutien exceptionnel en petits travaux atteint 2 millions d’euros, 127.000 euros pour les besoins en équipement (chaises, tables, matériels informatiques,…) et 40.000 euros en fonctionnement.
Rappelons que dans le champ des compétences du Département se trouve aussi la gestion du bâti des collèges. Les dégâts causés au collège Bédier de Saint-André par la tempête Fakir ont eux aussi été budgétisé à 2,5 millions d’euros. Rappelons que le collège de Saint-André, assurément le plus touché, avait été traversé par une coulée de boue. Mais "tous les collèges ont été touchés", ont rappelé les élus.
Autre collectivité concernée cette fois, le Conseil régional, gestionnaire des routes nationales, avait quant à lui estimé à 4,5 millions d'euros le montant des sommes nécessaires à la remise en état des routes.