
Nasser al-Khelaifi, président du conseil de surveillance du PSG
Comme le rapporte Le Parisien, le PSG, ainsi que le club anglais de Manchester City, vont être sanctionnés dans le cadre du fair-play financier mis en place par l'UEFA. Le quotidien francilien rapporte que le club de la capitale va écoper d'une amende de plusieurs dizaines de millions d'euros.
Pourtant, le PSG n'affichait en 2012-2013 un déficit "que" de 3,5 millions d'euros, une broutille comparé à d'autres clubs européens endettés à plusieurs dizaines voire centaines de millions d'euros. Le seul hic, c'est que le club francilien utilise des moyens pour parvenir à cet équilibre "pas au goût des experts mandatés par l'UEFA", indique Le Parisien.
Le principal reproche fait au Paris Saint-Germain est son contrat d'image signé avec la Qatar Tourism Authority (QTA), qui lui a rapporté l'an dernier plus de 200 millions d'euros, "soit la moitié des recettes du club de la capitale", écrit Le Parisien.
Or, les deux parties sont liées au même actionnaire ultime, à savoir l'État du Qatar, ce qui renforce la thèse d'un contrat surévalué, permettant de sortir des prix du marché.
Même si le président de l'UEFA, Michel Platini, a plaidé pour éviter des condamnations trop lourdes, le PSG ne devrait pas échapper à une sanction de l'institution du foot européen.
Pourtant, le PSG n'affichait en 2012-2013 un déficit "que" de 3,5 millions d'euros, une broutille comparé à d'autres clubs européens endettés à plusieurs dizaines voire centaines de millions d'euros. Le seul hic, c'est que le club francilien utilise des moyens pour parvenir à cet équilibre "pas au goût des experts mandatés par l'UEFA", indique Le Parisien.
Le principal reproche fait au Paris Saint-Germain est son contrat d'image signé avec la Qatar Tourism Authority (QTA), qui lui a rapporté l'an dernier plus de 200 millions d'euros, "soit la moitié des recettes du club de la capitale", écrit Le Parisien.
Or, les deux parties sont liées au même actionnaire ultime, à savoir l'État du Qatar, ce qui renforce la thèse d'un contrat surévalué, permettant de sortir des prix du marché.
Même si le président de l'UEFA, Michel Platini, a plaidé pour éviter des condamnations trop lourdes, le PSG ne devrait pas échapper à une sanction de l'institution du foot européen.