
Après les Présidentielles, on pouvait imaginer la fin de la surcharge de travail liée à la distribution des plis électoraux à La Poste et ainsi une détente des relations entre les syndicats et la direction. Il n'en est rien.
A quelques jours du premier tour des législatives, des facteurs ont décidé de faire grève ce matin pour réclamer le "même traitement que nos collègues de métropole qui sont rémunérés pour la surcharge de travail réalisée à l'occasion de la distribution des plis électoraux. 70 plis distribués correspond à 1 heure de travail supplémentaire", indique-t-on ce matin, parmi la dizaine de manifestants situés devant le siège de La Poste, rue Maréchal Leclerc à Saint-Denis.
Les derniers échanges entre la direction et le syndicat Sud PTT avait permis d'envisager un accord, mais le refus de la direction de signer un relevé de décision a provoqué la mise en application de cette grève suivi par les centres de Sainte-Suzanne, Saint-Paul, Sainte-Clotilde et Saint-Denis.
Si la situation ne s'améliore pas, les facteurs annoncent un risque de perturbation dans la distribution des plis électoraux.
A quelques jours du premier tour des législatives, des facteurs ont décidé de faire grève ce matin pour réclamer le "même traitement que nos collègues de métropole qui sont rémunérés pour la surcharge de travail réalisée à l'occasion de la distribution des plis électoraux. 70 plis distribués correspond à 1 heure de travail supplémentaire", indique-t-on ce matin, parmi la dizaine de manifestants situés devant le siège de La Poste, rue Maréchal Leclerc à Saint-Denis.
Les derniers échanges entre la direction et le syndicat Sud PTT avait permis d'envisager un accord, mais le refus de la direction de signer un relevé de décision a provoqué la mise en application de cette grève suivi par les centres de Sainte-Suzanne, Saint-Paul, Sainte-Clotilde et Saint-Denis.
Si la situation ne s'améliore pas, les facteurs annoncent un risque de perturbation dans la distribution des plis électoraux.