On vous l’annonçait la semaine dernière, le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, a déposé un dossier pour la plus grosse introduction en bourse jamais réalisée par la net économie.
Selon la presse anglo-saxonne, dans ce cadre d’entrée à Wall Street, l’actionnaire principal du site communautaire aux 845 millions d’utilisateurs devra aussi s’exempter du règlement de taxes faramineuses s’élevant de 1,5 et 2 milliards de dollars, en étant imposé à 35%.
Le jeune PDG du réseau social espère exercer une option d’achat qui lui permettrait d’avoir la main mise sur 120 millions d’actions de sa société, à seulement 6 centimes l’unité. Ce qui signifie que si le groupe est valorisé à 100 milliards de dollars lors de son entrée en bourse, ces titres devraient s’échanger près de 50 dollars pièce, explique le « Wall Street Journal », pour une plus-value de près de 6 milliards de dollars.
Le bon parti de 27 ans détenant une fortune estimée désormais à environ 30 milliards de dollars, il pourra amplement s’acquitter de ses impôts. D’autant que le jeune prodigue d’Harvard a fait savoir qu’il allait revendre une partie de ses actions pour financer cette dépense.