
Le nouveau règlement phytosanitaire entrera en vigueur le 14 décembre prochain. Afin d'anticiper sur la problématique des exportations de fruits, une réunion s'est tenue à la préfecture en présence des organisations de producteurs, des expressistes, de la DAAF, des transitaires ainsi que de la chambre d'agriculture.
Le nouveau règlement prévoit un double contrôle physique des marchandises, un au départ de la Réunion et un à l'arrivée à Paris. Un traitement est également prévu pour la mangue, suscitant de grandes inquiétudes chez les professionnels mais aussi chez les particuliers désireux d'envoyer des colis pour les fêtes de fin d'année.
S'il n'y a pas de réelles avancées, un groupe de travail par filière est mis en place à partir du 4 octobre, le but étant de faire remonter des propositions à l'état au début du mois de novembre. À ce jour, les demandes de dérogation pour le letchi et l'ananas sont restée sans écho. Concernant le report de la reforme, il y a visiblement peu de chance que cela aboutisse.
Cette réforme, à l'origine de l'Europe, a pour but d'empêcher de nouveaux parasites d''entrer sur le territoire européen. À compter du 14 décembre, La Réunion sera considérée comme un pays tiers en matière de contrôle, mais européen en matière de traitement. Cela signifie que l'utilisation de traitements, à l'instar des pays tiers, n'est pas possible compte tenu du positionnement de la Réunion sur le marché de l'ultra frais.
Le nouveau règlement prévoit un double contrôle physique des marchandises, un au départ de la Réunion et un à l'arrivée à Paris. Un traitement est également prévu pour la mangue, suscitant de grandes inquiétudes chez les professionnels mais aussi chez les particuliers désireux d'envoyer des colis pour les fêtes de fin d'année.
S'il n'y a pas de réelles avancées, un groupe de travail par filière est mis en place à partir du 4 octobre, le but étant de faire remonter des propositions à l'état au début du mois de novembre. À ce jour, les demandes de dérogation pour le letchi et l'ananas sont restée sans écho. Concernant le report de la reforme, il y a visiblement peu de chance que cela aboutisse.
Cette réforme, à l'origine de l'Europe, a pour but d'empêcher de nouveaux parasites d''entrer sur le territoire européen. À compter du 14 décembre, La Réunion sera considérée comme un pays tiers en matière de contrôle, mais européen en matière de traitement. Cela signifie que l'utilisation de traitements, à l'instar des pays tiers, n'est pas possible compte tenu du positionnement de la Réunion sur le marché de l'ultra frais.