
Ewa devait être lancée en grande pompe le 30 octobre dernier avec un vol inaugural vers Moroni. Lancement qui a pris du plomb dans l'aile après la non-décision de la DGAC des Comores d'autoriser les vols de la compagnie mahoraise vers la capitale Moroni.
Depuis le 30 octobre, Ewa a donc dû annuler deux vols et s'apprête à annuler le prochain qui doit décoller demain. "On veut sortir d'une situation qui pénalise tout le monde", souligne Marie-Joseph Malé, PDG d'Air Austral, actionnaire majoritaire de la compagnie mahoraise Ewa.
"Le premier vol devait être opéré à destination de Moroni le 30 octobre dernier, mais nous n'avons toujours pas eu de réponse officielle. L'étude du dossier est en cours. On espère avoir dans les jours qui viennent une réponse favorable et démarrer la desserte de Moroni, et dans le futur celle d'Anjouan", poursuit-il.
Le PDG se dit "optimiste" quant à une sortie de crise avec les autorités comoriennes, et précise que Ewa et Inter Ile Air (compagnie concurrente dans la zone) ont rédigé un courrier "commun" au ministre des Transports comorien. "Nous sommes dans uns situation compliquée et il est dans l'intérêt des deux compagnies de s'en sortir", précise Marie-Joseph Malé.
Une situation économique et commerciale qui impacte la nouvelle compagnie régionale mahoraise. "La balle est dans le camp des Comores", conclut-il.
Depuis le 30 octobre, Ewa a donc dû annuler deux vols et s'apprête à annuler le prochain qui doit décoller demain. "On veut sortir d'une situation qui pénalise tout le monde", souligne Marie-Joseph Malé, PDG d'Air Austral, actionnaire majoritaire de la compagnie mahoraise Ewa.
"Le premier vol devait être opéré à destination de Moroni le 30 octobre dernier, mais nous n'avons toujours pas eu de réponse officielle. L'étude du dossier est en cours. On espère avoir dans les jours qui viennent une réponse favorable et démarrer la desserte de Moroni, et dans le futur celle d'Anjouan", poursuit-il.
Le PDG se dit "optimiste" quant à une sortie de crise avec les autorités comoriennes, et précise que Ewa et Inter Ile Air (compagnie concurrente dans la zone) ont rédigé un courrier "commun" au ministre des Transports comorien. "Nous sommes dans uns situation compliquée et il est dans l'intérêt des deux compagnies de s'en sortir", précise Marie-Joseph Malé.
Une situation économique et commerciale qui impacte la nouvelle compagnie régionale mahoraise. "La balle est dans le camp des Comores", conclut-il.