S’engager en politique c’est faire preuve d’une action citoyenne, c’est la volonté de s’engager dans la vie de la cité, c’est un souhait de se faire entendre.
Pour beaucoup de jeunes (et de moins) la campagne des municipales a fait émerger une « génération d’engagée ». S’engager en politique c’est aussi la prise de conscience, que nous avons tous notre rôle à y jouer. Nous avons tous notre but à marquer. En effet, au lieu de marmonner dans notre coin que rien ne va, au moment où on sort de notre petit univers bien chaud ; dans sa commune, dans sa vie de tous les jours.
Un grand nombre de jeune ont décidé, donc, de se réunir en groupe pour échanger des idées, construire, proposer…
Et même, pour un jeune qui décide d’entrer dans les arcanes de la politique, prêt à se faire dévorer par les plus anciens qui détiendraient encore les clés de la vérité et de la réalisation du modernisme républicain.
Il ne faut pas sombrer dans le pessimisme, bien au contraire quand on devient militant, on participe à des événements, vivifiants, qui auront des conséquences dans la vie de tous les jours, notamment quand on débat des orientations, de la stratégie électorale à adopter lors d’une élection locale ou des grands débats nationaux du moment…
Peut-importe d’appartenir à la majorité ou la minorité, les deux sont une bonne école du militant, avec une dose de courage à avoir. Ainsi, faire de la politique c’est un apprentissage de la vie, accéder à un univers que nous ne rencontrons pas forcément dans nos métiers…
Le militantisme au sein des Jeunes repose ainsi sur la reconnaissance des valeurs incarnées par le parti.
