Combien je voudrais vous venir en aide, Frédérique Lebon! En effet, pourquoi votre nom ne figure-t-il pas dans un des ateliers de l’EGOM? Vos compétences seraient-elles mises en doute? Je n’ose y penser d’autant qu’avec votre citoyenneté réunionnaise, très sincèrement, votre place aurait dû être là où figurent beaucoup de désignés d’office.
Oui, Frédérique, la parité! Mais quelle parité? Permettez-moi un exemple. Eric Magamoutou, président de l’atelier « gouvernance », a-t-il su s’entourer de la gent féminine idéale à remplir la mission : réfléchir et proposer pour la Réunion profonde. Il est néanmoins plausible que son rapporteur et notamment sa rapporteuse lui ont été imposés. Deux zoreils, écrit Jean-Noël Fortier du Quotidien.
Comment deux zoreils, et concernant notamment Fabienne Couapel-Sauret, avocate, fraîchement débarquée, pourrait-elle parler, représenter, décider pour le Réunionnais et pour le Zoreil intégré, enraciné?
Comment, après à peine deux années sur le territoire, cette dame a-t-elle pu obtenir cette légitimité?
« N’a un pé y devré allé cachiete ».
Ces zoreils de la gouvernance ont-ils des velléités pour les prochaines échéances régionales?
La Réunion voudrait savoir, et j’appelle Frédérique Lebon à avoir encore plus de combativité, pour que le pays soit égalitairement représenté par ce qu’on pourrait appeler « le socle réunionnais ».
Par ailleurs ces huit ateliers, composés de 51 personnes – sauf erreur – sont-elles rémunérées, voire indemnisées, ou ont-elles viscéralement la fibre du bénévolat?
Sarko aurait réussi là où d’autres ont échoué : faire travailler le Français gratuitement. Bravo, monsieur le Président! Sinon le Réunionnais voudrait savoir. Serait-ce trop demandé?
Robin des Bois