
Le 18 décembre 2019, Jean Adekalom a abattu l’un de ses bœufs Moka dans sa cour à l’Etang-Salé. A l’arrivée des gendarmes et des services vétérinaires, la bête est déjà morte et dépecée.
L’éleveur qui ne possède plus que 5 bêtes a expliqué avoir abattu l’animal parce qu’il avait une patte cassée. La viande aurait ensuite été partagée "dans un acte charitable et solidaire" comme le veut la tradition créole, leur a-t-il expliqué.
"Les animaux doivent être abattus dans des conditions légales très précises", a rappelé le parquet face à un banc des accusés vide. La vice-procureure, Emilie Petitjean, a également évoqué les risques sanitaires, d’autant que l’abattage marron s’est déroulé durant le mois de décembre.
Pour l’abattage d’animal hors d’un abattoir dans des conditions illicites, Jean Adekalom a été condamné à 2 mois de prison avec sursis et 300 euros d’amende.
L’éleveur qui ne possède plus que 5 bêtes a expliqué avoir abattu l’animal parce qu’il avait une patte cassée. La viande aurait ensuite été partagée "dans un acte charitable et solidaire" comme le veut la tradition créole, leur a-t-il expliqué.
"Les animaux doivent être abattus dans des conditions légales très précises", a rappelé le parquet face à un banc des accusés vide. La vice-procureure, Emilie Petitjean, a également évoqué les risques sanitaires, d’autant que l’abattage marron s’est déroulé durant le mois de décembre.
Pour l’abattage d’animal hors d’un abattoir dans des conditions illicites, Jean Adekalom a été condamné à 2 mois de prison avec sursis et 300 euros d’amende.