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Santé

Et s’il valait mieux prolonger l’état d’urgence sanitaire ?


Le gouvernement a décrété la fin de l'état d'urgence sanitaire de Covid-19 à La Réunion à compter de ce jeudi 31 mars. Une décision qui marque une amélioration de la situation sanitaire et la fin d’un certain nombre de dispositifs.

Par SF - Publié le Mercredi 30 Mars 2022 à 13:14

L’état d’urgence sanitaire est déclaré à La Réunion depuis le 28 décembre dernier, une décision prise par le gouvernement en raison du pic épidémique de coronavirus que subissait l’île à cette date.

Cette mesure d’urgence, rendue possible par une loi introduite en 2020 dans le code de la santé publique pour répondre à la pandémie, devrait prendre fin au 1er avril et changer la donne, une nouvelle fois.

Fin des restrictions

La déclaration de l'état d'urgence sanitaire a permis au préfet d’instaurer un certain nombre de restrictions sous couvert de crise sanitaire sur le territoire, notamment des mesures visant à limiter la liberté d'aller et venir, la liberté d'entreprendre et la liberté de réunion (confinement, couvre-feu, interdiction de rassemblement), de limiter l’ouverture des établissements recevant du public (commerces, cafés, restaurants, théâtres, cinémas…), ou encore d’imposer un passe sanitaire aux voyageurs ou pour accéder à des lieux ou événements accueillant du public.

Fin des aides exceptionnelles ?

L’état d’urgence sanitaire permet également aux autorités de déclencher des mesures économiques et sanitaires de gestion de crise.

Des mesures de réquisition de tous biens et services nécessaires pour mettre fin à la catastrophe sanitaire et des mesures temporaires de contrôle des prix peuvent être prises.

La fin de l’état d’urgence pourrait marquer le retour des jours de carence en cas d’arrêt maladie, allant de 1 à trois jours selon s’il s’agit d’un salarié du secteur public ou privé. Pour l’heure, le dispositif des arrêts dérogatoires est maintenu.

La loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2022 prolonge l'indemnisation des salariés en arrêt de travail Covid sans jours de carence. La prolongation pourra se faire jusqu'à une date fixée par décret ou au plus tard jusqu'au 31 décembre 2022.

Arrêt de travail dérogatoire

Si une personne a été testée positive au COVID 19, elle peut se rendre sur le télé service ameli si elle a besoin d’un arrêt de travail. Pour ce type de situation, il n’y aura pas de jours de carence.

En revanche, depuis le 21 mars 2022, les personnes contact à risque, quel que soit leur statut vaccinal, ne seront plus tenues d’observer une période d’isolement et donc ne pourront plus déclarer un arrêt de travail dérogatoire.

Les dispositifs en entreprise

Afin d’accompagner les entreprises dont l’activité a été impactée par les mesures de restrictions liées à la Covid-19, l’Etat a déployé différentes mesures, à savoir :

- Le fonds de solidarité nationale;

- Les « coûts fixes consolidation » (dispositif qui permet aux entreprises des secteurs protégés de bénéficier, dès lors qu’elles perdent plus de 50 % de leur chiffre d’affaires et connaissent des pertes d’exploitation (EBE négatif) au mois de novembre, d’une indemnisation égale à 90 % (70 % pour les entreprises de plus de 50 salariés) de la perte d’exploitation de novembre.) ;

- L’activité partielle avec un reste à charge nul.

Les entreprises ne sont plus éligibles à ces mesures depuis le mois de mars, dans la mesure où celles-ci étaient liées à des restrictions d’activité qui ont été levées.




1.Posté par terminé le 31/03/2022 18:55

"Maison enflammée, placards électriques incendiés, véhicules réduits en cendres : nous sommes allés sur les traces des émeutes de Sevran, dans le 93. Rappelons les faits. Samedi 27 mars vers midi, Jean-Paul Benjamin, 33 ans, originaire d'Haïti, vole une fourgonnette remplie de colis à l'un de ses employeurs avec lequel il était en conflit. La brigade anticriminalité d’Aulnay-sous-Bois repère la camionnette. Le conducteur refusant d'obtempérer, un officier de la BAC ouvre le feu. Jean-paul Benjamin, touché à l'omoplate gauche, décédera à l’hôpital des suites de ses blessures.

Selon CNews, Jean-Paul Benjamin était connu des services de police pour de nombreux faits de vols, vols aggravés, avec violence, en bande organisée, recels, violences et outrages sur personnes dépositaires de l’autorité.
Depuis l'annonce du décès, des émeutiers dégradent l’espace public, notamment à Sevran, en Seine-Saint-Denis (93). Les autorités font nettoyer très rapidement les lieux saccagés, mais des traces importantes de dégâts demeurent. Devant nos yeux, un local associatif calciné : une maison de 100 mètres carrés, située à proximité d’un parc à jeux pour enfants. Un employé de la commune qui gère la circulation confirme que cet édifice a bien été la cible des émeutiers.

Sur la route qui mène au quartier des Beaudottes, de grandes traces de plastique fondu marquent le bitume. Ce sont les restes de bennes à ordures qui ont été carbonisées. Un habitant nous indique l'endroit où une carcasse de poids lourd a été retirée. Un placard électrique encore fumant agonise dans un quartier pavillonnaire des Sablons. L’Agence France-Presse fait état, le 30 mars, de quatre véhicules et d'une quinzaine de poubelles incendiés, ainsi que d'un véhicule de la police municipale dégradé par des projectiles. Selon une source habitant Sevran depuis vingt ans, « ceux qui mettent le bazar sont des jeunes, voire de très jeunes. Les débordements ne vont pas s’éterniser, pour éviter de mettre en péril le trafic de drogue. » L’AFP indique que sur les treize personnes interpellées pour dégradations et violence dans la nuit du 29 mars, cinq sont mineures.

Les violences urbaines font tache d'huile. Dans la commune voisine d'Aulnay-sous-Bois, un car de la société Transdev a été dérobé et carbonisé. Alors que l’enquête n’a pas encore rendu ses conclusions, le maire de Sevran, Stéphane Blanchet (gauche rassemblée écologique solidaire et citoyenne), a apporté son soutien à la famille du chauffard dans un communiqué officiel. Concernant les émeutes qui ont lieu dans sa commune, le premier magistrat de la commune considère que « la tristesse des habitants, encore sous le choc, doit s’exprimer autrement »."

grace aux règles MacKinsey, les états d'urgences se suivent et ne se ressemblent pas...

ce qui compte pour notre Macroute , c'est que ce soit la guerre....en france en dehors etc...

2.Posté par tantine le 31/03/2022 21:44

je ne comprends même pas le titre de cet article, c'est possible de parler de mckinsey et du scandale de la non destitution de macron qui ose se représenter ?

de sa déclaration de patrimoine planqué dans les paradis fiscaux avant même suppression de l'isf ?

d'alstom bradé comme tout ce que la france fait de bon ?

des sondages bidons qui donnent macron à 29% alors qu'il n'arrive pas à trouver 30000 personnes pour venir l'écouter quand zemmour en rassemble 104000 ?

du sénat qui a lancé une commission d'enquête sur les effets secondaires des injections ?

3.Posté par JORI le 01/04/2022 17:13

1.Posté par terminé le 31/03/2022 18:55
Vous êtes né il y a quelques mois pour prétendre que les violences n'ont lieu que depuis l'arrivée de macron ??. Comme vous le dites plus bas, il serait temps que vous arrêtiez votre propagande. Elle est vraiment trop nulle. 😂 😂 😂

4.Posté par JORI le 01/04/2022 17:16

2.Posté par tantine le 31/03/2022 21:44
Mais vous en parlez.
D'ailleurs nous n'avons jamais eu de nouvelles de tous vos dépôts de plainte.
Mais que faites vous encore ici alors que votre mentor poutine vous attend là où il n'y a aucune contrainte comme vous aimez ça. 😂 😂 😂

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