L’ordre de charger avait été donné au moins quarante-cinq minutes avant. L’information a vite circulé. Si un certain nombre de personnes a dégagé, d’autres attendaient l’affrontement.
Les véhicules de forces de l’ordre ont pris leurs quartiers au niveau du stade de la Redoute. En formation de “tortue” avec les fourgonnettes en appui à l’arrière, la vingtaine de policiers a commencé à avancer vers le tunnel de la route du Littoral.
Pour éviter de prendre un galet à partir de la fin de la route Vinh San, les forces de l’ordre ont d’abord dégagé les conducteurs - spectateurs – qui étaient bloqués par les “manifestants”. Puis, ils ont continué jusqu’au barrage de galets, de branchages et de cônes.
L’impressionnant cordon de policiers a tout de suite fait reculer le “barrage”. Puis, un face à face s’est mis en place. Lentement et avec subtilité, les policiers ont avancé. Lorsqu’ils ont compris la manœuvre, une trentaine de personnes a décidé de s’asseoir sur la route.
A alors commencé d’un côté, des cris, des revendications, des “moucatages”, jusqu’à ce que la première grenade lacrymogène claque dans le ciel de Saint-Denis. Puis d’autres tirs ont suivi, des tirs qui ont fait mouche puisque les manifestants se sont dispersés en quelques secondes.
Certains ont répondu par des galets… Finalement cet affrontement s’est poursuivi une bonne vingtaine de minutes… Les manifestants ont continué à provoquer et les forces de l’ordre de répliquer à plusieurs reprises.
Le calme est revenu aux alentours de 18 heures sur le Barachois.
Les véhicules de forces de l’ordre ont pris leurs quartiers au niveau du stade de la Redoute. En formation de “tortue” avec les fourgonnettes en appui à l’arrière, la vingtaine de policiers a commencé à avancer vers le tunnel de la route du Littoral.
Pour éviter de prendre un galet à partir de la fin de la route Vinh San, les forces de l’ordre ont d’abord dégagé les conducteurs - spectateurs – qui étaient bloqués par les “manifestants”. Puis, ils ont continué jusqu’au barrage de galets, de branchages et de cônes.
L’impressionnant cordon de policiers a tout de suite fait reculer le “barrage”. Puis, un face à face s’est mis en place. Lentement et avec subtilité, les policiers ont avancé. Lorsqu’ils ont compris la manœuvre, une trentaine de personnes a décidé de s’asseoir sur la route.
A alors commencé d’un côté, des cris, des revendications, des “moucatages”, jusqu’à ce que la première grenade lacrymogène claque dans le ciel de Saint-Denis. Puis d’autres tirs ont suivi, des tirs qui ont fait mouche puisque les manifestants se sont dispersés en quelques secondes.
Certains ont répondu par des galets… Finalement cet affrontement s’est poursuivi une bonne vingtaine de minutes… Les manifestants ont continué à provoquer et les forces de l’ordre de répliquer à plusieurs reprises.
Le calme est revenu aux alentours de 18 heures sur le Barachois.