
Les bobos ont mauvaise presse à La Réunion,on leur préfère ces derniers temps les madones moralisatrices qui séduisent les électeurs à la sortie des temples et des églises ou, à défaut, de vieilles statues du commandeur qui réapparaissent depuis l'éternité sur les écrans et les affiches à chaque élection.
En pleine crise environnementale, le citoyen du monde, éco-responsable et conscient des enjeux actuels, ennuie. N'est-ce pas une façon de tourner le dos à un avenir incertain à réinventer, en restant tournés vers ces prédicateurs égocentriques ?
Ces derniers ont tout intérêt à caresser le «petit» électeur et le gramoune de l'EPADH d'à côté dans le sens du poil, car ils ne risquent pas de réagir aux prêches et sermons qui lui sont servis depuis toujours.
Dans leurs bouches, les électeurs ne sont que des nécessiteux et des chômeurs, laissés pour compte de la société qu'ils vont sauver de leur frustration...
Quid de la masse des électeurs bien formés et volontaires à l'adaptation de la vie aux contraintes environnementales et sanitaires?
Ils doivent se contenter de candidats qui les ignorent, car il est tellement plus simple de se faire passer pour une (grand-)maman ou un (grand-)papa et sa hotte de bons sentiments que de représenter utilement la masse des citoyens qui veulent un monde durable, car bien conscients des évidences sanitaires.
Mais le courage politique n'est toujours pas à la mode chez les candidats , malgré les crises sociales et sanitaires.
De toutes façons, ils n'ont jamais pris les transports en commun (à part l'avion pour Paris) et leur temps est trop précieux pour faire du vélo. On ne voit donc par pourquoi ils se mettraient à élaborer un réseau électrique de transports gratuits et un réseau cohérent de pistes cyclables et piétonnes.De simples mesures-gadgets suffisent à faire croire que l'essentiel est fait.
Que dire du sous-emploi et des emplois fictifs dans toutes les administrations? Sans doute une armée de «petits» électeurs plus efficaces pour assurer une réélection que de déléguer les services à des entreprises compétentes...
Alors, après le COVID, est-ce qu'on ne peut pas se trouver des candidats capables de relever le niveau et les défis ?
En pleine crise environnementale, le citoyen du monde, éco-responsable et conscient des enjeux actuels, ennuie. N'est-ce pas une façon de tourner le dos à un avenir incertain à réinventer, en restant tournés vers ces prédicateurs égocentriques ?
Ces derniers ont tout intérêt à caresser le «petit» électeur et le gramoune de l'EPADH d'à côté dans le sens du poil, car ils ne risquent pas de réagir aux prêches et sermons qui lui sont servis depuis toujours.
Dans leurs bouches, les électeurs ne sont que des nécessiteux et des chômeurs, laissés pour compte de la société qu'ils vont sauver de leur frustration...
Quid de la masse des électeurs bien formés et volontaires à l'adaptation de la vie aux contraintes environnementales et sanitaires?
Ils doivent se contenter de candidats qui les ignorent, car il est tellement plus simple de se faire passer pour une (grand-)maman ou un (grand-)papa et sa hotte de bons sentiments que de représenter utilement la masse des citoyens qui veulent un monde durable, car bien conscients des évidences sanitaires.
Mais le courage politique n'est toujours pas à la mode chez les candidats , malgré les crises sociales et sanitaires.
De toutes façons, ils n'ont jamais pris les transports en commun (à part l'avion pour Paris) et leur temps est trop précieux pour faire du vélo. On ne voit donc par pourquoi ils se mettraient à élaborer un réseau électrique de transports gratuits et un réseau cohérent de pistes cyclables et piétonnes.De simples mesures-gadgets suffisent à faire croire que l'essentiel est fait.
Que dire du sous-emploi et des emplois fictifs dans toutes les administrations? Sans doute une armée de «petits» électeurs plus efficaces pour assurer une réélection que de déléguer les services à des entreprises compétentes...
Alors, après le COVID, est-ce qu'on ne peut pas se trouver des candidats capables de relever le niveau et les défis ?