
Peut-être ces mêmes bien pensants et donneurs de leçon se souviennent-ils de cette époque lointaine où eux aussi menèrent le combat pour un monde plus juste et plus humain. Hélas avec l’âge vient le désenchantement. Même s’il apporte quelque réconfort et de la fierté personnelle, l’exercice du pouvoir, que ce soit en actes ou en paroles, engendre immanquablement la trahison des nobles idéaux originels. Ainsi, les dérives, pour peu qu’on lise la presse, ont été largement médiatisées. La fin, qui n’est plus à ce jour que le pouvoir pour le pouvoir et les privilèges qui vont avec, peut-elle justifier les moyens ? Nous pensons évidemment que non et nous dénonçons avec fermeté les méthodes fondées sur l’oppression, le mensonge, l’opacité des affaires communales, le clientélisme et le favoritisme. Ces méthodes s’écartent très largement d’une vision sociétale démocratique, transparente et humaniste ou chaque citoyen est respecté dans ses droits.
Monsieur Roland Robert, manqueriez-vous de courage pour envoyer vos sbires aboyer à votre place ?
Il serait sans doute naïf de nier la part de pragmatisme dans la vie politique, mais il est d’une rare clairvoyance et d’une lucidité exceptionnelle que de fustiger le mensonge politique, comme le fait Vanessa Miranville en défendant les idées d’Europe Ecologie pour la justice, la transparence et le développement durable. N’en déplaise aux médisants professionnels, les aboyeurs en tout genre, l’avenir appartient aux jeunes et aux futures générations.
Jean Paul FOIS
Monsieur Roland Robert, manqueriez-vous de courage pour envoyer vos sbires aboyer à votre place ?
Il serait sans doute naïf de nier la part de pragmatisme dans la vie politique, mais il est d’une rare clairvoyance et d’une lucidité exceptionnelle que de fustiger le mensonge politique, comme le fait Vanessa Miranville en défendant les idées d’Europe Ecologie pour la justice, la transparence et le développement durable. N’en déplaise aux médisants professionnels, les aboyeurs en tout genre, l’avenir appartient aux jeunes et aux futures générations.
Jean Paul FOIS