Avec l'apparition du variant Omicron à La Réunion, les modalités de voyage vers La Réunion ont évolué. Les passagers doivent désormais justifier d’un test PCR négatif qu’ils soient vaccinés ou non.
Les tests doivent être faits :
- 24h avant l’embarquement pour les voyageurs non vaccinés,
- 72h avant l’embarquement pour les voyageurs vaccinés présentant un test RT-PCR,
- 48h avant l’embarquement pour les voyageurs vaccinés présentant un test antigénique
Les passagers non vaccinés doivent, eux, toujours justifier d’un motif impérieux.
Peu d'annulations sur les vols métropole/Réunion
Du côté des compagnies aériennes, l’annonce de l’apparition d’Omicron sur l’île a semé la panique, mais malgré quelques rares annulations, les réservations pour le mois de décembre font une part importante du chiffre d'affaires.
Les frontières restent fermées avec certains pays, ce qui ne devrait pas avoir de conséquences dramatiques sur le chiffre d’affaires des compagnies locales. “Les voyageurs attendus en cette fin d'année se concentrent essentiellement sur du trafic affinitaire”, explique Air France.
La compagnie ne constate pas pour l’heure d’annulation et prévoit trois vols/jour d’ici le début des vacances, mais reste prudente :
"On vit avec cette menace depuis presque 2 ans, au rythme aussi des annonces des autorités. On s’adapte. Malgré l’apparition du nouveau variant, nous ne sommes pas ici sur le même schéma que lors de l’annonce du reconfinement en septembre, où nous avons eu 30% d’annulations”. Même son de cloche chez Corsair, où pour l'heure il n'y a pas de changements conséquents.
Tous appliquent les modalités en vigueur pour maintenir l'accueil des voyageurs dans des conditions optimales.
Les activités touristiques ouvertes
Une fois arrivés sur l’île, les voyageurs seront soumis aux restrictions sanitaires en vigueur, mais pourront tout de même profiter des activités touristiques et culturelles, sous conditions.
Les bars et restaurants restent ouverts au public vacciné, sans limitation de jauge. Là aussi, la plus grande prudence est de mise :
“On est dans l'expectative. Le plus important est que l'on prenne toutes les mesures et de faire les contrôles”, déclare Patrick Serveaux, président de l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie (UMIH).
Le mois de décembre représente une part importante du chiffre d'affaires des professionnels du secteur du tourisme et le nouveau variant peut susciter l’inquiétude chez ces derniers. Le gouvernement a annoncé qu’il n’y aurait ni couvre-feu, ni confinement en France en cette fin d’année, mais les mesures sanitaires pourraient être adaptées sur notre île, où le variant Omicron a été détecté dans la nuit de dimanche à lundi dernier.
Pour le président de l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie, il n’y a pas encore lieu de s’affoler, même s’il faut faire preuve de discernement. “À La Réunion, nous avons un taux d’occupation hospitalier plus bas qu’en métropole, on ne comprendrait pas qu’il y ait des mesures plus fortes ici”, conclut-il.
Les mesures actuellement en vigueur courent, quant à elles, jusqu'à ce dimanche.
Les tests doivent être faits :
- 24h avant l’embarquement pour les voyageurs non vaccinés,
- 72h avant l’embarquement pour les voyageurs vaccinés présentant un test RT-PCR,
- 48h avant l’embarquement pour les voyageurs vaccinés présentant un test antigénique
Les passagers non vaccinés doivent, eux, toujours justifier d’un motif impérieux.
Peu d'annulations sur les vols métropole/Réunion
Du côté des compagnies aériennes, l’annonce de l’apparition d’Omicron sur l’île a semé la panique, mais malgré quelques rares annulations, les réservations pour le mois de décembre font une part importante du chiffre d'affaires.
Les frontières restent fermées avec certains pays, ce qui ne devrait pas avoir de conséquences dramatiques sur le chiffre d’affaires des compagnies locales. “Les voyageurs attendus en cette fin d'année se concentrent essentiellement sur du trafic affinitaire”, explique Air France.
La compagnie ne constate pas pour l’heure d’annulation et prévoit trois vols/jour d’ici le début des vacances, mais reste prudente :
"On vit avec cette menace depuis presque 2 ans, au rythme aussi des annonces des autorités. On s’adapte. Malgré l’apparition du nouveau variant, nous ne sommes pas ici sur le même schéma que lors de l’annonce du reconfinement en septembre, où nous avons eu 30% d’annulations”. Même son de cloche chez Corsair, où pour l'heure il n'y a pas de changements conséquents.
Tous appliquent les modalités en vigueur pour maintenir l'accueil des voyageurs dans des conditions optimales.
Les activités touristiques ouvertes
Une fois arrivés sur l’île, les voyageurs seront soumis aux restrictions sanitaires en vigueur, mais pourront tout de même profiter des activités touristiques et culturelles, sous conditions.
Les bars et restaurants restent ouverts au public vacciné, sans limitation de jauge. Là aussi, la plus grande prudence est de mise :
“On est dans l'expectative. Le plus important est que l'on prenne toutes les mesures et de faire les contrôles”, déclare Patrick Serveaux, président de l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie (UMIH).
Le mois de décembre représente une part importante du chiffre d'affaires des professionnels du secteur du tourisme et le nouveau variant peut susciter l’inquiétude chez ces derniers. Le gouvernement a annoncé qu’il n’y aurait ni couvre-feu, ni confinement en France en cette fin d’année, mais les mesures sanitaires pourraient être adaptées sur notre île, où le variant Omicron a été détecté dans la nuit de dimanche à lundi dernier.
Pour le président de l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie, il n’y a pas encore lieu de s’affoler, même s’il faut faire preuve de discernement. “À La Réunion, nous avons un taux d’occupation hospitalier plus bas qu’en métropole, on ne comprendrait pas qu’il y ait des mesures plus fortes ici”, conclut-il.
Les mesures actuellement en vigueur courent, quant à elles, jusqu'à ce dimanche.