C’est sans doute un des éléments essentiels dans le montage pour le financement des 200 € de salaire net : la participation des entreprises. Si selon nos informations, certains patrons acceptent cet engagement, d’autres n’en veulent. C’est le cas des petites entreprises.
Eric Magamootoo, président de la CCIR, a fait entendre sa voix et la position des petits commerçants lors des premiers jours de négociations. Pour mieux peser dans ce débat, il a réuni un certain nombre de commerçant au sein d’un collectif.
Inquiets à avoir à supporter de nouvelles charges salariales dans un contexte économique particulièrement difficile, plusieurs étaient présents hier après-midi devant la grille de la préfecture. Jean Cadivel, commerçant à Bras-Panon, avait également fait le déplacement.
L’ancien président du club de football de Bras-Panon n’a pas caché sa crainte et son désarroi, si les petits commerces devaient aussi augmenter leurs salariés. “On va sans doute nous imposer un double challenge : une hausse des revenus et une baisse des pris. C’est impossible”.
Si ces décisions sont imposées les conséquences seront immédiates “Ce sera d’abord le licenciement puis la faillite…”
Eric Magamootoo, président de la CCIR, a fait entendre sa voix et la position des petits commerçants lors des premiers jours de négociations. Pour mieux peser dans ce débat, il a réuni un certain nombre de commerçant au sein d’un collectif.
Inquiets à avoir à supporter de nouvelles charges salariales dans un contexte économique particulièrement difficile, plusieurs étaient présents hier après-midi devant la grille de la préfecture. Jean Cadivel, commerçant à Bras-Panon, avait également fait le déplacement.
L’ancien président du club de football de Bras-Panon n’a pas caché sa crainte et son désarroi, si les petits commerces devaient aussi augmenter leurs salariés. “On va sans doute nous imposer un double challenge : une hausse des revenus et une baisse des pris. C’est impossible”.
Si ces décisions sont imposées les conséquences seront immédiates “Ce sera d’abord le licenciement puis la faillite…”