Lors de sa visite dans l'île le mois dernier, Manuel Valls avait apporté son soutien au projet d'aménagement urbain de la façade littorale du chef-lieu, plus communément appelée NEO (Nouvelle Entrée Ouest) de Saint-Denis. Le Premier ministre avait même annoncé que l'Etat allait soutenir toutes les études nécessaires... Du côté de la mairie, on demeure très optimiste quant à une possible augmentation de la part de l'Etat dans ce projet chiffré à plus de 485 millions d'euros.
Ces 485 millions d'euros correspondent à l'étape "une" du projet qui comprend le franchissement du Barachois, l'ouvrage d'art au-dessus de la Rivière Saint Denis, l'échangeur de la route de la Montagne, ainsi que le projet d'aménagement urbain en surface de la future tranchée couverte au-dessus du Barachois.
Pour l'heure, l'État s'est engagé à hauteur de 110 millions d'euros. Suivent la Région (154 millions d'euros), la Ville de Saint-Denis (54 millions), l'Europe (40 millions d'euros), la Cinor (40 millions d'euros) et le département (12 millions d'euros).
En revanche, comme l'indique Xavier Rossignol, le directeur de l'aménagement de Saint-Denis, la part de l'État pourrait augmenter dans le projet de la NEO si d'autres chantiers viennent s'agglomérer à elle.
Dans tous les cas, des études complémentaires sont toujours en cours (études environnementales, hydrologiques, bathymétriques). La maîtrise d'oeuvre interviendra milieu 2016, espère-t-on toujours du côté de la mairie.
Un comité de pilotage aura lieu en fin d'année pour faire un point sur l'avancement du projet, termine Xavier Rossignol.
Ces 485 millions d'euros correspondent à l'étape "une" du projet qui comprend le franchissement du Barachois, l'ouvrage d'art au-dessus de la Rivière Saint Denis, l'échangeur de la route de la Montagne, ainsi que le projet d'aménagement urbain en surface de la future tranchée couverte au-dessus du Barachois.
Pour l'heure, l'État s'est engagé à hauteur de 110 millions d'euros. Suivent la Région (154 millions d'euros), la Ville de Saint-Denis (54 millions), l'Europe (40 millions d'euros), la Cinor (40 millions d'euros) et le département (12 millions d'euros).
En revanche, comme l'indique Xavier Rossignol, le directeur de l'aménagement de Saint-Denis, la part de l'État pourrait augmenter dans le projet de la NEO si d'autres chantiers viennent s'agglomérer à elle.
Dans tous les cas, des études complémentaires sont toujours en cours (études environnementales, hydrologiques, bathymétriques). La maîtrise d'oeuvre interviendra milieu 2016, espère-t-on toujours du côté de la mairie.
Un comité de pilotage aura lieu en fin d'année pour faire un point sur l'avancement du projet, termine Xavier Rossignol.