Saïd Larifou est accusé d’avoir « ouvertement critiqué le président de l’archipel Ahmed Abdallah Moamed Sambi » lors d’un meeting de son parti politique, le Rida (Rassemblement pour une initiative de développement avec une jeunesse avertie).Ce meeting marquait le lancement de la campagne pour les élections législatives aux Comores.
Après avoir été entendu pendant plusieurs heures, Saïd Larifou a finalement été libéré tout à l’heure.