Deux plans ont été déclenchés : le Polmar mer et le Polmar terre. Le but était de "tester les relations, la complémentarité, l'efficacité des échanges d'informations", indique Jean-François Moniotte, directeur du cabinet du Préfet.
Il s'agit également, après réception du Retex (retour d'expérience) effectué par une équipe d'évaluateurs de la Dram, d'aboutir à un plan Orsec maritime dans le premier semestre de l'année prochaine.
Cet exercice s'est basé sur l'hypothèse d'un pétrolier ayant heurté à 25 km des côtes de La Réunion un conteneur qui avait été perdu par un autre bâtiment et qui a occasionné une brèche dans sa coque. Conséquence : plus de 300 tonnes d'hydrocarbure ont été déversées dans les eaux et ont créé une nappe de pollution. "Il a fallu à la fois gérer la nappe et l'engin ayant subi une avarie" explique Dominique Riban, capitaine de vaisseau et commandant de la zone maritime Sud de l'Océan Indien. "Ce bâtiment s'est retrouvé sans propulsion et incapable de manœuvrer". Il a fallu le prendre en remorque après une évaluation qui a entrainé l'hélitreuillage d'une équipe de la Dram pour évaluer les dégâts et aider à la décision de ramener le bateau.
Le plan Polmar Terre a été déclenché après la décision de ramener le pétrolier dans la baie de Saint-Paul à cause du risque de pollution de la côte, c'est-à-dire des barrages flottants pour protéger la ferme Aquacole, la réserve et la baie de Saint-Paul. Le nettoyage des côtes a été effectué par des agents de la ville de Saint-Paul et par les agents de la DDE.
Il a fallu ensuite pomper le reste du carburant qui s'échappait et colmater la brèche de façon à mettre le bateau en sécurité et le remorquer vers un port de réparation.
Il s'agit également, après réception du Retex (retour d'expérience) effectué par une équipe d'évaluateurs de la Dram, d'aboutir à un plan Orsec maritime dans le premier semestre de l'année prochaine.
Cet exercice s'est basé sur l'hypothèse d'un pétrolier ayant heurté à 25 km des côtes de La Réunion un conteneur qui avait été perdu par un autre bâtiment et qui a occasionné une brèche dans sa coque. Conséquence : plus de 300 tonnes d'hydrocarbure ont été déversées dans les eaux et ont créé une nappe de pollution. "Il a fallu à la fois gérer la nappe et l'engin ayant subi une avarie" explique Dominique Riban, capitaine de vaisseau et commandant de la zone maritime Sud de l'Océan Indien. "Ce bâtiment s'est retrouvé sans propulsion et incapable de manœuvrer". Il a fallu le prendre en remorque après une évaluation qui a entrainé l'hélitreuillage d'une équipe de la Dram pour évaluer les dégâts et aider à la décision de ramener le bateau.
Le plan Polmar Terre a été déclenché après la décision de ramener le pétrolier dans la baie de Saint-Paul à cause du risque de pollution de la côte, c'est-à-dire des barrages flottants pour protéger la ferme Aquacole, la réserve et la baie de Saint-Paul. Le nettoyage des côtes a été effectué par des agents de la ville de Saint-Paul et par les agents de la DDE.
Il a fallu ensuite pomper le reste du carburant qui s'échappait et colmater la brèche de façon à mettre le bateau en sécurité et le remorquer vers un port de réparation.