La création par les banques de crédits de mauvaise qualité, à savoir les « subprimes« , puis leur mise sur le marché, a donné des instruments bancaires très volatiles, avec des degrés de risque énorme.
Aujourd’hui, le volume de ces titres est pharaonique et remet en cause l’ensemble du système bancaire mondial…
Après coup, cette crise financière était prévisible, comme les précédentes…
Mais cette fois, il y a en plus un risque considérable de faillites d’institutions bancaires que l’on croyait à jamais ancrées dans le paysage de la finance mondiale, car elles se retrouvent à court de liquidité.
D’où l’effondrement des bourses mondiales.
Les actions sont au plus bas. Raison de plus pour ne surtout pas les vendre, selon Radj Koytcha, conseiller en gestion de patrimoine. Comme on dit souvent, « en bourse, il faut vendre au clairon et acheter au canon« . C’est à dire vendre quand tout va bien, et acheter quand tout va mal…