
Les manifestants, vingt-et-un salariés communaux soit 8,5 % du personnel selon la mairie, ont cadenassé les portes de l’atelier municipal ce matin. Ils entendaient dénoncer la situation dans laquelle ils devaient effectuer leur travail.
“Ils ont d’abord réclamé la présence du maire”, indique Pascal Bègue, directeur de cabinet. Jean-Luc Saint-Lambert est allé à la rencontre des grévistes.
Une réunion à la mairie a suivi. Autour de la table, il y avait le premier magistrat de la ville, une dizaine d’élus, le DGS, le cabinet du maire et des représentants du Syndicat autonome de la fonction publique, de la CFTC (Confédération française des travailleurs chrétiens) et Force ouvrière.
Les employés ont pu ainsi exposer leurs revendications : la présence quasi quotidienne d’élus sur leur lieu de travail. Ces conseillers municipaux auraient la maladresse de donner des ordres à tout le monde. Cela aurait pour conséquence de mettre à l’aise une partie du personnel, et de créer une désorganisation de certains services.
L’autre reproche des grévistes, l’affectation ou la réaffectation des agents est vécue un an après les élections municipales, comme une sanction. Aussi, Jean-Luc Saint-Lambert s’est engagé à tout mettre en œuvre pour que ces deux situations ne se reproduisent plus.
Mais si le maire de la Plaine des Palmistes a accepté qu’aucune sanction ne soit prise à l’encontre des agents grévistes, il a rejeté la demande du paiement du jour de grève. “Chacun doit assumer ses responsabilités”, a répondu Jean-Luc Saint-Lambert.
Pour ce seul motif, la grève sera reconduite demain matin.
“Ils ont d’abord réclamé la présence du maire”, indique Pascal Bègue, directeur de cabinet. Jean-Luc Saint-Lambert est allé à la rencontre des grévistes.
Une réunion à la mairie a suivi. Autour de la table, il y avait le premier magistrat de la ville, une dizaine d’élus, le DGS, le cabinet du maire et des représentants du Syndicat autonome de la fonction publique, de la CFTC (Confédération française des travailleurs chrétiens) et Force ouvrière.
Les employés ont pu ainsi exposer leurs revendications : la présence quasi quotidienne d’élus sur leur lieu de travail. Ces conseillers municipaux auraient la maladresse de donner des ordres à tout le monde. Cela aurait pour conséquence de mettre à l’aise une partie du personnel, et de créer une désorganisation de certains services.
L’autre reproche des grévistes, l’affectation ou la réaffectation des agents est vécue un an après les élections municipales, comme une sanction. Aussi, Jean-Luc Saint-Lambert s’est engagé à tout mettre en œuvre pour que ces deux situations ne se reproduisent plus.
Mais si le maire de la Plaine des Palmistes a accepté qu’aucune sanction ne soit prise à l’encontre des agents grévistes, il a rejeté la demande du paiement du jour de grève. “Chacun doit assumer ses responsabilités”, a répondu Jean-Luc Saint-Lambert.
Pour ce seul motif, la grève sera reconduite demain matin.