
Image d'archive
Toute la journée d'hier fut un véritable marathon pour l'association des Emplois verts en danger. Après une opération escargot en début de matinée, les manifestants se sont réunis devant la Région avant de se rendre dans les jardins de la Préfecture.
Si Jean-Hugues Ratenon est ressorti de l'audience à la Région avec le sourire, Gérard Agathe, le porte-parole de la plateforme des associations d'Emplois verts est plus sceptique : "Ils n'ont rien obtenu. La Région n'a fait que confirmer ce que l'on savait déjà".
Les deux hommes n'arrivent décidément pas à s'entendre sur la méthode à choisir pour mener à bien le combat des Emplois verts. "Depuis le début, M. Ratenon se trompe de cible, car son combat est politisé. Le seul qui tient les manettes, c'est l'Etat. Depuis le début, nous demandons au Préfet d'afficher le nombre de contrats", explique Gérard Agathe.
Si d'ici la fin du mois de janvier, rien n'était acté, les présidents des 73 associations de la plateforme se réuniront. Le porte-parole dit être confiant pour la suite car, selon quelques rumeurs, le quota de l'Etat devrait tomber dans la deuxième partie du mois de février 2013.
Gérard Agathe regrette que les intérêts des uns et des autres aboutisse à des situations complexes. "Chacun défend ses intérêts, et on ment ainsi à la population. Ce n'est pas normal. Par exemple, comment expliquez-vous que certaines communes recrutent déjà alors que le quota n'est même pas connu? Cela laisse penser que certains s'appuient que des quotas de 2012 non utilisés…", condamne-t-il.
Enfin, il trouve dommage que le combat mené par quelques associations aux côtés de Jean-Hugues Ratenon perde en clarté. "Il ne faut pas tout mélanger, les emplois verts, le gaz, le carburant… Il y a trop de confusion", juge Gérard Agathe.
Si Jean-Hugues Ratenon est ressorti de l'audience à la Région avec le sourire, Gérard Agathe, le porte-parole de la plateforme des associations d'Emplois verts est plus sceptique : "Ils n'ont rien obtenu. La Région n'a fait que confirmer ce que l'on savait déjà".
Les deux hommes n'arrivent décidément pas à s'entendre sur la méthode à choisir pour mener à bien le combat des Emplois verts. "Depuis le début, M. Ratenon se trompe de cible, car son combat est politisé. Le seul qui tient les manettes, c'est l'Etat. Depuis le début, nous demandons au Préfet d'afficher le nombre de contrats", explique Gérard Agathe.
Si d'ici la fin du mois de janvier, rien n'était acté, les présidents des 73 associations de la plateforme se réuniront. Le porte-parole dit être confiant pour la suite car, selon quelques rumeurs, le quota de l'Etat devrait tomber dans la deuxième partie du mois de février 2013.
Gérard Agathe regrette que les intérêts des uns et des autres aboutisse à des situations complexes. "Chacun défend ses intérêts, et on ment ainsi à la population. Ce n'est pas normal. Par exemple, comment expliquez-vous que certaines communes recrutent déjà alors que le quota n'est même pas connu? Cela laisse penser que certains s'appuient que des quotas de 2012 non utilisés…", condamne-t-il.
Enfin, il trouve dommage que le combat mené par quelques associations aux côtés de Jean-Hugues Ratenon perde en clarté. "Il ne faut pas tout mélanger, les emplois verts, le gaz, le carburant… Il y a trop de confusion", juge Gérard Agathe.