Ce matin, le procès en appel de Sandra Sinimalé et de Thierry Vaitiligom a été renvoyé au 23 septembre prochain pour cause de crise sanitaire.
L'ex-directeur du CDG et son ex-directrice de cabinet étaient poursuivis pour des délits de détournement de fonds publics et recel de détournement de fonds publics. En mai 2019, le tribunal correctionnel de Saint-Pierre les avait respectivement condamnés à 6 et 10 mois de prison avec sursis et 5 ans d'inéligibilité conformément aux réquisitions du procureur de la République de l'époque, Laurent Zuchowicz.
La note avait été salée pour les deux condamnés à payer 111 500 euros de dommages et intérêts au CDG.
En avril 2015, Thierry Vaitilingom avait recruté Sandra Sinimalé comme directrice de cabinet du CDG. Cette dernière, également conseillère départementale, percevait un salaire de 6 700 € mensuels pour un poste qu'elle n'aurait jamais vraiment occupé. Des faits qu'avait pointé du doigt la chambre régionales des comptes et sur lesquels le parquet de Saint-Pierre s'était penché.
En garde à vue comme lors de leur procès, les deux prévenus avaient nié tout ce qui leur était reproché. Thierry Vaitiligom avait indiqué que les deux postes pour lesquels il était également inquiété étaient légitimes et que les contrats avaient été rédigés et signés en bonne et due forme. Mais les magistrats avaient estimé qu'il s'agissait également d'emploi fictif.
L'ex-directeur du CDG et son ex-directrice de cabinet étaient poursuivis pour des délits de détournement de fonds publics et recel de détournement de fonds publics. En mai 2019, le tribunal correctionnel de Saint-Pierre les avait respectivement condamnés à 6 et 10 mois de prison avec sursis et 5 ans d'inéligibilité conformément aux réquisitions du procureur de la République de l'époque, Laurent Zuchowicz.
La note avait été salée pour les deux condamnés à payer 111 500 euros de dommages et intérêts au CDG.
En avril 2015, Thierry Vaitilingom avait recruté Sandra Sinimalé comme directrice de cabinet du CDG. Cette dernière, également conseillère départementale, percevait un salaire de 6 700 € mensuels pour un poste qu'elle n'aurait jamais vraiment occupé. Des faits qu'avait pointé du doigt la chambre régionales des comptes et sur lesquels le parquet de Saint-Pierre s'était penché.
En garde à vue comme lors de leur procès, les deux prévenus avaient nié tout ce qui leur était reproché. Thierry Vaitiligom avait indiqué que les deux postes pour lesquels il était également inquiété étaient légitimes et que les contrats avaient été rédigés et signés en bonne et due forme. Mais les magistrats avaient estimé qu'il s'agissait également d'emploi fictif.