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Société

Empiètement de terrain: Pierre Vergès se retourne contre la mairie de La Possession


Voilà six ans que les habitants de la Possession n'avaient plus entendu parler du contentieux des empiétements illégaux de terrain des hiérarques du PCR. Et plus d'une décennie que le litige oppose la mairie à ces propriétaires. Nous avions à plusieurs reprises parlé à l'époque du lotissement Jujubes et c'est avec surprise que nous avons appris, en décembre dernier, que ce contentieux n'avait toujours pas permis à la collectivité de clore ce chapitre et d'obtenir totalement son dû. Pire, l'un des propriétaires du lotissement, qui n'est autre que Pierre Vergès, se retourne contre la mairie.

Par Ludovic Grondin - Publié le Jeudi 9 Janvier 2020 à 17:27

Hachurée, la zone d'enpiètement de chacune des maisons du lotissement jujubes
Hachurée, la zone d'enpiètement de chacune des maisons du lotissement jujubes
Retour vers le passé ! Le contentieux des lotissements Jujubes et Entre ciel et terre n’est pas enterré. Six ans après avoir espéré pouvoir récupérer l'argent de la régularisation des empiétements illégaux, la mairie de la Possession piétine.

La collectivité a eu toutes les peines du monde pour faire respecter des décisions de justice qui lui étaient pourtant favorables… Mais a-t-elle réellement activé les bons leviers pour que rentrent dans les caisses de la mairie les 900.000 euros attendus ? Pas sûr, selon Jean-Paul Fois, ancien représentant d’Anticor.

Commençons par le lotissement Jujubes situé à mi-pente avec vue imprenable sur le Port et l'océan. À l’époque de la mandature Roland Robert, la mairie avait usé de tous les stratagèmes pour ne pas ébruiter l’affaire. Normal lorsque l’on avait découvert qui étaient les propriétaires concernés : Pierre Vergès, le syndicaliste CGTR Ivan Hoareau, l'ancien DGS de la mairie du Port Alain Payet - par ailleurs condamné dans le dossier de l’endiguement de la Rivière des Galets - ou encore l'ancien président du comité de jumelage de La Possession Eric Panechou (Pour le promoteur, "il n'y a pas eu de traitement de faveur").

Leur empiétement sur le domaine public est révélé en 2007. Une éternité. La partie semble sur le point d’être gagnée à partir de 2014 lorsque Vanessa Miranville accède au pouvoir.
21 janvier 2015 : Empiètements illégaux des hiérarques du PCR : La mairie de la Possession attend 900.000€ dans ses caisses

À son arrivée, la nouvelle majorité manifeste naturellement tout son intérêt de faire aboutir la régularisation de ces dossiers. En plus de faire rentrer des sous dans les caisses de la commune, la coercition appliquée à ces personnalités de premier plan est alors censée marquer un tournant vis-à-vis des pratiques de la précédente mandature. Mais après six années d'exercice de Vanessa Miranville, le contentieux n'est toujours pas éteint et avec lui, la promesse de faire payer certains propriétaires zélés.

Pire, selon l'avocat de la mairie, la tentative de résolution à l'amiable s'est transformée en fin de non recevoir pour 6 des 9 propriétaires épinglés. Certains poussent même le bouchon à vouloir régulariser leur situation au prix de 50 € le mètre carré, soit très loin des 290 € révisés par le service des Domaines. 

Interrogée, la mairie fait le point sur le contentieux du lotissement Jujubes. L'avocat de la mairie nous répond :
 
"Le 4 juillet 2014, le tribunal Administratif de Saint-Denis annulait la délibération n°9 du Conseil municipal datant du 14 décembre 2011 pour défaut d’information en ce qu’elle prévoyait la vente des terrains empiétés du Lotissement Jujubes au prix de 90€ le m².

Evidemment, la nouvelle majorité n’a pas relevé appel de cette décision pour défendre le prix de 90 euros du m², puisqu’elle souhaite vendre cette parcelle au prix fixé par les Domaines en application de la loi et du jugement rendu.

Fin 2014, la ville a donc entrepris de régulariser à nouveau ces empiètements sur la base d’un nouvel avis des domaines rectifiés fixant le prix de cession, cette fois-ci à 290€ le m².
 
La ville s’est toujours positionnée dans une optique de règlement amiable du contentieux opposant la Ville aux riverains du Lotissement Jujubes, qui a partiellement fonctionné. Seuls 3 riverains sur 9 ont accepté les conditions de cession de la ville fixées par les Domaines (Consorts Brunneau, Kaderbay et Vergès) selon les propositions offertes par la ville en vue de régler de manière amiable ce dossier.

Les autres personnes ont refusé d’acheter quant à elle, maintenant leur demande d’acheter à un prix dérisoire, revendiquant même un prix inférieur (50 euros) à celui prévu par la délibération de l’ancienne majorité pourtant annulée par le tribunal administratif, et ce malgré de nombreux rendez-vous et échanges de courriers. Ces derniers continuent à occuper illégalement le bien communal.

La tâche n’est pas aisée car l’un des propriétaires, M. Ratiney, a refusé de signer le procès-verbal de bornage amiable du géomètre-expert, obligeant la commune à saisir le tribunal d’instance aux fins de bornage judiciaire. La commune a obtenu gain de cause, mais M. Ratiney conteste toujours cette limite séparative qui passe au milieu de son bien immobilier, et il a fait appel de cette décision puis un pourvoi en cassation qui est toujours en cours sur le bornage judiciaire.

Face à ce comportement contraire à la loi et au jugement, la commune n’a eu d’autres choix fin 2018 d’assigner en justice les riverains du Lotissement Jujubes afin d’obtenir l’expulsion lorsque cela est possible, la destruction des constructions illégales et l’indemnisation de la Commune pour le préjudice subi du fait de la perte de jouissance de son bien.

Les affaires sont actuellement pendantes devant le tribunal de grande instance de Saint-Denis, certains soulevant des incidents pour ralentir au maximum la procédure.

En procédant ainsi, la commune va au bout des procédures judiciaires qu’elle pouvait mettre en œuvre afin d’être rétablie dans ses droits."

Une fois la réponse de la mairie plus haut exposée, arrêtons-nous sur le cas de ces trois propriétaires qui ont, selon la mairie, accepté de régulariser leur situation. 

Pour les deux premières familles effectivement, la régularisation s’est jouée rapidement et les propriétaires concernés ont fait profil bas en régularisant leur situation.

Selon nos informations, les consorts Brunneau se sont ainsi présentés spontanément et ont payé l’intégralité de leur empiètement de quelques m2. Les Kaderbay ont rendu à la commune le terrain qu’ils occupaient illégalement et ont accepté de payer les frais. 

Rien n'est réglé avec la famille Vergès

Ça se complique sérieusement pour les consorts Vergès.
 
Le 11 janvier 2019, la mairie de La Possession assignait Pierre Vergès devant le tribunal de grande instance de Saint-Denis à des fins de régularisation par voie de justice. La mairie entendait faire valoir le paiement d’une indemnité d’occupation de 1000 euros par mois d’occupation illégale sur la période de 2014 à 2018 et sur 343 mètres carré d’empiètement.
 
Une procédure aussitôt contestée par Pierre Vergès qui considérait alors que la démarche de la mairie était allée bien trop loin puisque, depuis 2012, il n’avait jamais cessé de confirmer qu’il reconnaissait un empiètement involontaire de 63 m2 (en lieu et place des superficies exposées dans l’affaire N°9 du conseil municipal de 2011 (115 m2 d’empiètement) puis lors du conseil municipal de 2014 (343 m2, voir plus bas les deux extraits).
 
Bien qu’il en contestait l’estimation, Pierre Vergès était prêt à accepter de payer le prix fort de 290 euros du mètre carré mais uniquement pour 63 m2 de dépassement.
 
Alors que la résolution du contentieux semblait en bonne voie, un incompréhensible cafouillage administratif entre la mairie et le cadastre a fait capoter la démarche à l’amiable, débouchant donc sur l’assignation de janvier 2019.
 
Dans les faits, ce cafouillage administratif s’est illustré par des courriers dans lesquels la mairie continuait de réclamer aux consorts Vergès qu’ils acceptent l’idée d’une régularisation. Or, ces derniers n'ont cessé de démontrer qu’ils en avaient déjà accepté le principe depuis des années, courriers envoyés en mairie à l’appui.
 
Cette assignation en justice par la mairie de la Possession a donc été jugée comme une procédure abusive par les consorts Vergès alors qu'ils avaient démontré que la mairie était dans l’incapacité de finaliser la vente. C'est ce qui a incité Pierre Vergès à se retourner contre la mairie et à réclamer à la collectivité des dommages et intérêts en octobre 2019. Le monde à l'envers.
 
Si la démarche amiable n’avait pas été parasitée par ces erreurs administratives, la mairie aurait pu espérer 18.270 euros d’indemnisation pour cette occupation illégale de 63 m2. Au final, la mairie est bien loin des 33000 € réclamés en 2011 puis des 99000 € estimés en 2014.


Retour sur une décennie de contentieux du lotissement Jujubes :

En 2011, le maire Roland Robert présentait l'affaire N°9 en minimisant les empiètements et, de ce fait, faisait porter à seulement 400.000 € le préjudice pour les finances communales. Cette délibération sera cassée en 2014 par le tribunal administratif grâce à l'intervention de l'ADIP :

En 2014, l'avis "éclairé" des Domaines porte à plus de 3.000 m2 la superficie empiétée par l'ensemble des propriétaires de Jujubes, ce qui faisait porter le préjudice à 918.000 euros au lieu de 466.000 quelques années plus tôt. En 2020, la mairie n'en a que partiellement vu la couleur :

Le 6 juin 2018, les élus étaient invités à valider l'autorisation de dépense en frais d'avocats alors que les consorts Ratiney n'entendaient pas se laisser compter (ndlr : M.Ratiney était à l'époque le secrétaire de mairie de Roland Robert avant de se retrouver cadre à la mairie du Port) :


Jean-Paul Fois, ex-président de l'ADIP et représentant d'Anticor en 2014, réagit sur ce contentieux qu'il avait révélé : 

"Sur le dossier particulier de M. Ratiney, la question est de savoir pourquoi la commune s’est engagée dans une procédure de négociation au lieu de faire valoir ses droits immédiatement après avoir acté en 2014 le jugement du tribunal administratif non contesté et approuvé par l’ensemble des élus. Vanessa Miranville a toujours claironné dans les médias qu’il fallait faire rentrer rapidement plus de 900.000 euros dans les caisses de la collectivité. Le résultat s’apparente maintenant à une débâcle qui coûte très cher à la collectivité donc aux administrés. C'est de l'amateurisme une fois de plus…".




1.Posté par Beni le 09/01/2020 18:02 (depuis mobile)

Encore un exemple d''incompétence de l''équipe municipale...

2.Posté par Magouille le 09/01/2020 18:40 (depuis mobile)

Encore une fois l’exemple de l’an justice dans notre pays . Comment cette magouille peut exister en 2020 . Quand Pierre Vergès et ses copains arrêteront ils d’avoir des passe droit ?? La justice ne fonctionne pas pour eux ?

3.Posté par Le Jacobin le 09/01/2020 19:04

Alors les COCOS HOARAU CGTR

Vous prétendez défendre les pauvres et vous vivez dans la grande bourgeoisie?

Encore une macabre découvert à la Possession.

Vous connaissez la devise du communisme?

Donne moi ta montre je te donnerai l'heure.

Cherchez le couillon dans l'affaire !

4.Posté par La vérité le 09/01/2020 19:17

Non seulement un exemple d'incompétence et d'amateurisme évidents, mais un je m'en-foutisme de ces bras cassés , plus enclins à se préoccuper de leurs intérêts particuliers et personnels, donc très très loin de l'intérêt général! A méditer!

5.Posté par Par tisane le 09/01/2020 19:18 (depuis mobile)

Combien de dgs déjà.. Dont 1 provenant s''out of la Réunion, déménagement payé par le contribuable, qui est devenu consultante... Mon dieu.. Que vanessa et son équipe sont médiocres..

6.Posté par Théodore le 09/01/2020 20:23

C'est vrai, comme, le prétend JP Fois, il aurait fallu réclamer directement au tribunal le paiement des terrains illégalement occupés par le pauvre Pierre Vergès et ses amis du lotissement Jujube. C'est cependant passer volontairement sous silence que toute procédure d'occupation illégale de terrain prévoit une conciliation préalable pour le règlement des montants à payer. Une nouvelle fois, Mr Fois fait preuve de mauvaise fois ou alors s'emmêle les pinceaux dans un analyse pseudo-juridique dont il ne maîtrise pas les tenants et aboutissants. Et d'ailleurs, comment expliquer que trois propriétaires ait accepté de régulariser leur situation si une procédure de conciliation n'avait pas été proposée. Au demeurant, JP Fois, comme Pierre Vergés semblent oublier que la responsabilité première de cette situation d'occupation illégale du domaine public revient avant tout aux propriétaires demeurant de mauvaise foi comme de mauvaise volonté, tout comme ils oublient de cette façon qu'ils furent des représentants du peuple et l'intérêt public. Bel exemple d'un parcours dévoyé et trompeur...Combien de fois encore...

7.Posté par Vrai st paulois le 09/01/2020 20:31 (depuis mobile)

Mr Grondin, dans votre article vous avez oublié un Nom . Personne très célèbre à la réunion. Célèbre pour sa grande gueule mais c'est tout ...

8.Posté par GIRONDIN le 09/01/2020 20:50

Il a bien raison de se défendre.
Pendant que certain i fait des carrières, des smart city, i occupe la fumée pétard, i voyage pour récupère des prix... ...... Bref.........

9.Posté par DIDIER NAZE le 09/01/2020 21:06

J ai survolé l article 😟😩😯.....mais franchement les problèmes, conflits entre ....Vanessa et .....le HAS BEEN de Pierre V.......😤😕😈....qu' est ce qu' on en a FOUTRE ?😤😨.....

Bien que je ne réside pas dans cette commune. ....je pense bien que bon nombre de Possessionnais. ..ont très probablement. d autres....préoccupations. ....et de savoir comment SURVIVRE !!😟😳....TOUT SIMPLEMENT ! 😕😦😤.....

10.Posté par Lisa le 09/01/2020 21:13

Franchement,
Les gens critiquent Mme Le Maire, mais il faut rappeler que l'ancienne mandature n'a pas fait mieux qu'elle.
A savoir que Rolland Robert a toujours fait des actes illégaux avec ses DGA notamment dans les dossiers d'aménagement.

De plus un retour des Robert ne sera favorable car lui "LE FILS" à une culture de politique de dinosaure comme sont père.

11.Posté par Citoyen le 09/01/2020 21:24

Le comble de cette affaire c est que Ti pierre l'avait demandé à l'époque au Maire Roland ROBERT de faire constater l’empiétement de son voisin par ses services Municipaux et chose qui a été démontrée c est que le voisin empiétait mais que Ti Pierre empiétait ainsi que tous les autres voisins.

C est l'arroseur qui a été arrosé.

12.Posté par Plume le 09/01/2020 21:33 (depuis mobile)

Je rêve, il empiète en toute illégalité sur un terrain communal et aujourd''hui il veut se faire passer pour la victime. Enfin c''est ce que nous veut faire croire l''article. Dans quel but? ???

13.Posté par Sthephanie le 09/01/2020 21:34 (depuis mobile)

A 2 mois des élections, on sort des vieux dossiers. Bizarre, bizarre !!!
Les possessionnais, je pense, ne sont pas dupes

14.Posté par A Mr Théodore le 09/01/2020 21:34 (depuis mobile)

Revoyez vos notes avant de sortir vos âneries. Miranville et ses sbires ont lamentablement échoué. Au lieu de faire rentrer 1,5 M€, c 0 Cablasse! Incompétente ou complicité avec les gros a zozos? 1''5M€ c 10% d''augmentation d''impôts. Penses y

15.Posté par Philippe le 09/01/2020 22:12 (depuis mobile)

Comme la mémoire est courte ! C''est le spectre de l''ère ROLAND ROBERT accompagné de son fils qui ressort ! 🤮🤮🤮

16.Posté par JOSS le 09/01/2020 22:12

S'il vous plaît l'affaire n°9 de cette délibération est daté de l'année 2011 et voté au conseil municipal sous l'ancienne mandature non ? le reportage journalistique dit bien que la nouvelle majorité de Vanessa Miranville en 2014 a donc tenté de faire payer les fraudeurs alors ma question qui sont les fautifs : les Fraudeurs ou ces élus de Vanessa Miranville qui prônent l'éthique, la moralité et la transparence ?

17.Posté par Marielou le 09/01/2020 22:19 (depuis mobile)

M.Fois, le grand retour ?
Par le biais d''anrticor vous allez encore submerger le parquet ?
Et c''est comme cela que ANTICOR compte se faire une réputation 🤔 ?

18.Posté par RaleCarangue le 09/01/2020 22:37 (depuis mobile)

Tant que les contentieux ne sont pas purgés, il est prématuré de juger l''équipe municipale. Cela montre les véritables politiciennes et malveillantes de M. Foix... qui pour le coup est de mauvaise foi?!!

19.Posté par Sally le 10/01/2020 02:37 (depuis mobile)

Du grand nimportekoi ressortir des affaires avec le nom de paul verges et vanessa miranville arreter de croire qu''il n''ya que des méchants loups et de voir le mal partout surtout a 3 mois des élections...manoeuvre politique

20.Posté par Cloclo le 10/01/2020 05:49 (depuis mobile)

Que serait il passé si un élu soit disant communiste était encore au pouvoir à la Possession ?. On voit bien que les élections approchent. Il faut donner le droit de réponse à la Mairie .

21.Posté par giletnoir le 10/01/2020 03:02

le communisme est l anti thèse de la propriété privée, sauf pour ces pseudo coco affamés de règlement de compte, revanchards et anti démocratiques. comme d habitude.

22.Posté par Tikaf le 10/01/2020 06:59 (depuis mobile)

BIZARRE QUAND MUNICIPALE I ARRIVE... TÉ CRÉOLE LÉ PI COUYONS.. MI PENSE QUE LEVTAUX D''ABSTENTIONISTE OU DE BULLETIN BLANC I SA ÊTRE FORT!

23.Posté par ! la recherche du profit le 10/01/2020 07:08

un échange entre le DGS de la mairie et la famille Vergès tente de ramener la surface à détacher à seulement 63m2 au lieu des 115 visés par la Direction générale des finances publiques. Aiguillé en erreur par la commune en 2011, le service des Domaines réévaluera cette superficie à 343m2 en 2014 !




Fidel Castro, un frugal militant révolutionnaire soucieux seulement du bien des peuples opprimés ? Telle est l’image que le Lider Maximo a toujours voulu donner de lui-même. Mais qu’on ne s’y trompe pas : le style ne dit pas toute la vérité sur l’homme, il peut même la cacher. Castro, jadis toujours revêtu d’un modeste treillis, puis de joggings de marque qu’il ne quittait même pas pour recevoir le pape François, a soigneusement cultivé une austérité de façade que la grande presse du monde entier n’a pas contestée. Sa disparition a provoqué un concert de louanges de la part des médias et des élites politiques. Mais derrière l’image de l’homme de gauche mythique, il y a aussi beaucoup d’argent. La grande question qui se pose après son décès est de savoir qui récupérera son héritage, un héritage qui pourrait bien se compter en centaines de millions de dollars. Car Fidel Castro était très riche. La Nomenklatura fait partie intégrale de la mise en œuvre du communisme !

Des journalistes plus indépendants d’esprit, mais aussi des dissidents qui font partie du million de Cubains qui ont quitté leur patrie pour fuir la tyrannie castriste ont au cours des ans tenté d’évaluer cette fortune immense en se fondant uniquement sur des informations publiquement accessibles. On parle de demeures de grand luxe, de yachts, d’île privée et même d’une usine à fromage qui lui appartiendrait en propre.

Les millions de Fidel Castro : le casse-tête de l’héritage

Selon une enquête publiée en 2006 par le magazine Forbes, Fidel Castro « pesait » alors 900 millions de dollars, une fortune immense qu’il occultait soigneusement selon ce journal, alors que le peuple cubain supportait la disette. « Pour faire une estimation prudente, nous essaierons de ne pas tenir compte des bénéfices passés qu’il a pu conserver, alors même que nous avons entendu parler de rumeurs à propos de grosses sommes mises à l’abri sur des comptes suisses. Castro lui-même, pour être complets, n’est pas d’accord : il insiste pour dire que sa fortune est égale à zéro », écrivait alors ce magazine spécialisé dans les très riches.

Aux revenus tirés de son poste à la tête du gouvernement cubain, pourraient bien s’ajouter selon des sources très critiques à l’égard de Castro le « tribut » payé par les FARC, terroristes marxistes qui se financent grâce à la cocaïne, pour s’assurer un « sanctuaire » dans l’île des Caraïbes en cas de besoin.

A l’époque des affirmations de Forbes – et alors que le magazine n’avait pas apporté de preuves tangibles pour les soutenir – Fidel Castro s’était livré à d’interminables dénégations télévisées dans le plus pur style de ses harangues révolutionnaires qui ont ponctué l’histoire de Cuba depuis cinquante ans. « S’ils arrivent à prouver que j’ai un compte en banque à l’étranger, avec 900 millions de dollars, avec 1 million de dollars, 500.000, 100.000, ou même un dollar, je démissionnerai ! », avait-il dit. Sa démission est arrivée, en définitive, seulement deux ans plus tard.


Fidel Castro pesait 900 millions de dollars en 2006, selon “Forbes”

Mais si l’article de Forbes n’a jamais donné de détails, un livre publié par un ancien garde du corps de Castro laisse entrevoir bien des aspects de La double vie de Fidel Castro, pour reprendre le titre de l’ouvrage de Juan Reinaldo Sanchez. Celui-ci n’hésite pas à affirmer que Castro possédait plus de vingt demeures de luxe. Et selon le journal espagnol de centre-droit ABC, il faut y ajouter au moins une île privée, un dolphinarium, une mine d’or, un héliport et cette fameuse usine à fromage qui correspondrait en tout cas à un dada de Castro. En 2015, il avait réservé l’une de ses rarissimes sorties à la visite de spécialistes de la fabrication du fromage.

La répartition de cette immense fortune présumée à la suite de la mort de Fidel Castro pourrait bien tourner en casse-tête. Castro a un frère, Raul : celui qui a repris les rênes de Cuba dans la fidélité à l’idéologie castriste. Sa sœur, Juanita, vit à Miami et qualifie son frère de « monstre ». Castro a eu au moins neuf enfants parmi lesquels la plus connue, Alina Fernandez, est une exilée de premier plan qui a voué sa vie à la mise au jour des réalités de la tyrannie installée par son père. Mais le clan Castro reste important à Cuba et il y aurait même une épouse légitime, Dalia Soto del Valle dont on dit qu’elle s’est mariée avec Fidel en privé.

Du côté de Raul Castro, l’héritier ou à tout le moins le continuateur idéologique de Fidel, il y a un fils et un gendre qui, à la différence des descendants de Fidel Castro, occupent des places élevées dans la hiérarchie communiste cubaine, et qui peuvent bien se présenter aussi comme légataires de sa fortune.


Le communisme à la Fidel Castro a aussi sa riche Nomenklatura

En cinquante ans, Cuba est restée une vraie économie communiste où le népotisme peut fonctionner à plein. Le média « mainstream » New York Times évoque ce vendredi la véritable « adulation » vouée selon lui à Fidel Castro, dont les cendres font actuellement un tour « triomphal » de l’île de Cuba au cours d’un deuil national de neuf jours. Adulation totalement irrationnelle (si elle n’est pas de commande…) comme est obligé de le reconnaître le quotidien : « Plus de cinq décennies après la révolution, une grande partie de la campagne est profondément improductive et Cuba importe un fort pourcentage de sa nourriture. Les mauvaises herbes asphyxient des champs qui ne donnent rien, et les ranches n’ont pas de cheptel. »

Les règles économiques cubaines, véritable carcan administratif, font perdurer un système totalement planifié et centralisé qui maintient un monopole sur tous les biens nécessaires à l’agriculture, ce qui empêche en pratique les fermiers ou producteurs laitiers potentiels d’avoir des affaires qui marchent. C’est le socialisme en œuvre, producteur de misère, et qui a remplacé Dieu par l’idolâtrie d’un homme tout sauf providentiel.

24.Posté par ! la recherche du profit le 10/01/2020 07:33

un échange entre le DGS de la mairie et la famille Vergès tente de ramener la surface à détacher à seulement 63m2 au lieu des 115 visés par la Direction générale des finances publiques. Aiguillé en erreur par la commune en 2011, le service des Domaines réévaluera cette superficie à 343m2 en 2014 !




Fidel Castro, un frugal militant révolutionnaire soucieux seulement du bien des peuples opprimés ? Telle est l’image que le Lider Maximo a toujours voulu donner de lui-même. Mais qu’on ne s’y trompe pas : le style ne dit pas toute la vérité sur l’homme, il peut même la cacher. Castro, jadis toujours revêtu d’un modeste treillis, puis de joggings de marque qu’il ne quittait même pas pour recevoir le pape François, a soigneusement cultivé une austérité de façade que la grande presse du monde entier n’a pas contestée. Sa disparition a provoqué un concert de louanges de la part des médias et des élites politiques. Mais derrière l’image de l’homme de gauche mythique, il y a aussi beaucoup d’argent. La grande question qui se pose après son décès est de savoir qui récupérera son héritage, un héritage qui pourrait bien se compter en centaines de millions de dollars. Car Fidel Castro était très riche. La Nomenklatura fait partie intégrale de la mise en œuvre du communisme !

Des journalistes plus indépendants d’esprit, mais aussi des dissidents qui font partie du million de Cubains qui ont quitté leur patrie pour fuir la tyrannie castriste ont au cours des ans tenté d’évaluer cette fortune immense en se fondant uniquement sur des informations publiquement accessibles. On parle de demeures de grand luxe, de yachts, d’île privée et même d’une usine à fromage qui lui appartiendrait en propre.

Les millions de Fidel Castro : le casse-tête de l’héritage

Selon une enquête publiée en 2006 par le magazine Forbes, Fidel Castro « pesait » alors 900 millions de dollars, une fortune immense qu’il occultait soigneusement selon ce journal, alors que le peuple cubain supportait la disette. « Pour faire une estimation prudente, nous essaierons de ne pas tenir compte des bénéfices passés qu’il a pu conserver, alors même que nous avons entendu parler de rumeurs à propos de grosses sommes mises à l’abri sur des comptes suisses. Castro lui-même, pour être complets, n’est pas d’accord : il insiste pour dire que sa fortune est égale à zéro », écrivait alors ce magazine spécialisé dans les très riches.

Aux revenus tirés de son poste à la tête du gouvernement cubain, pourraient bien s’ajouter selon des sources très critiques à l’égard de Castro le « tribut » payé par les FARC, terroristes marxistes qui se financent grâce à la cocaïne, pour s’assurer un « sanctuaire » dans l’île des Caraïbes en cas de besoin.

A l’époque des affirmations de Forbes – et alors que le magazine n’avait pas apporté de preuves tangibles pour les soutenir – Fidel Castro s’était livré à d’interminables dénégations télévisées dans le plus pur style de ses harangues révolutionnaires qui ont ponctué l’histoire de Cuba depuis cinquante ans. « S’ils arrivent à prouver que j’ai un compte en banque à l’étranger, avec 900 millions de dollars, avec 1 million de dollars, 500.000, 100.000, ou même un dollar, je démissionnerai ! », avait-il dit. Sa démission est arrivée, en définitive, seulement deux ans plus tard.


Fidel Castro pesait 900 millions de dollars en 2006, selon “Forbes”

Mais si l’article de Forbes n’a jamais donné de détails, un livre publié par un ancien garde du corps de Castro laisse entrevoir bien des aspects de La double vie de Fidel Castro, pour reprendre le titre de l’ouvrage de Juan Reinaldo Sanchez. Celui-ci n’hésite pas à affirmer que Castro possédait plus de vingt demeures de luxe. Et selon le journal espagnol de centre-droit ABC, il faut y ajouter au moins une île privée, un dolphinarium, une mine d’or, un héliport et cette fameuse usine à fromage qui correspondrait en tout cas à un dada de Castro. En 2015, il avait réservé l’une de ses rarissimes sorties à la visite de spécialistes de la fabrication du fromage.

La répartition de cette immense fortune présumée à la suite de la mort de Fidel Castro pourrait bien tourner en casse-tête. Castro a un frère, Raul : celui qui a repris les rênes de Cuba dans la fidélité à l’idéologie castriste. Sa sœur, Juanita, vit à Miami et qualifie son frère de « monstre ». Castro a eu au moins neuf enfants parmi lesquels la plus connue, Alina Fernandez, est une exilée de premier plan qui a voué sa vie à la mise au jour des réalités de la tyrannie installée par son père. Mais le clan Castro reste important à Cuba et il y aurait même une épouse légitime, Dalia Soto del Valle dont on dit qu’elle s’est mariée avec Fidel en privé.

Du côté de Raul Castro, l’héritier ou à tout le moins le continuateur idéologique de Fidel, il y a un fils et un gendre qui, à la différence des descendants de Fidel Castro, occupent des places élevées dans la hiérarchie communiste cubaine, et qui peuvent bien se présenter aussi comme légataires de sa fortune.


Le communisme à la Fidel Castro a aussi sa riche Nomenklatura

En cinquante ans, Cuba est restée une vraie économie communiste où le népotisme peut fonctionner à plein. Le média « mainstream » New York Times évoque ce vendredi la véritable « adulation » vouée selon lui à Fidel Castro, dont les cendres font actuellement un tour « triomphal » de l’île de Cuba au cours d’un deuil national de neuf jours. Adulation totalement irrationnelle (si elle n’est pas de commande…) comme est obligé de le reconnaître le quotidien : « Plus de cinq décennies après la révolution, une grande partie de la campagne est profondément improductive et Cuba importe un fort pourcentage de sa nourriture. Les mauvaises herbes asphyxient des champs qui ne donnent rien, et les ranches n’ont pas de cheptel. »

Les règles économiques cubaines, véritable carcan administratif, font perdurer un système totalement planifié et centralisé qui maintient un monopole sur tous les biens nécessaires à l’agriculture, ce qui empêche en pratique les fermiers ou producteurs laitiers potentiels d’avoir des affaires qui marchent. C’est le socialisme en œuvre, producteur de misère, et qui a remplacé Dieu par l’idolâtrie d’un homme tout sauf providentiel.

25.Posté par la le 10/01/2020 07:33

les constructions de la famille Vergès s'étendent sur près de 100 % de la surface disponible


paul comment ou rale sa ou

26.Posté par la le 10/01/2020 07:36

CGTR: Facture de GSM à 5.000€, véhicule de fonction... Ivan Hoareau répond aux accusations
Jeudi 29 Août 2013 - 11:50

CGTR: Facture de GSM à 5.000€, véhicule de fonction... Ivan Hoareau répond aux accusations
La démission simultanée des deux secrétaires de l'Union Régionale Sud (URS) de la CGTR de leur poste au sein de la Commission exécutive confédérale du syndicat avait fait grand bruit en début de semaine (voir ici : La CGTR est-elle sur le point d'imploser ? ). Pascal Hoareau et Clara Derfla portaient des accusations graves sur le fonctionnement et l'absence de transparence financière au sein de la CGTR.

Les deux secrétaires de l'URS avaient mis les pieds dans le plat en évoquant tour à tour le règlement d'une facture de téléphone d'Ivan Hoareau de 5.000 euros pour un mois d'utilisation - alors que le secrétaire général de la CGTR se trouvait en Thaïlande - le virement jugé anormal d'environ 11.000 euros du compte de la CGTR sur celui du secrétaire de la fédération Auto-Moto, Jacques Bhugon, ou encore l'acquisition d'un véhicule Citroën à "grand frais" (680 euros / mois ndlr) et mis à disposition pour le secrétaire général, sans l'aval du CEC.

Une attitude condamnée fermement par la CEC, réunie le 26 août dernier au siège de la CGTR à Saint-Denis. "La CEC ne peut que condamner le fait que la notification de ces démissions se fasse à la presse en même temps qu’à l’organe de décision de la CGTR. Cette attitude qui se répète de la part des mêmes traduit une attitude fractionniste et ouvertement anti-confédération. Tant sur le fond que sur la forme, la CEC conteste vigoureusement les faits, leur interprétation visant à une présentation tendancieuse et malhonnête. L’explication nécessaire est et continuera d’être apportée aux adhérents de la CGTR, dans le cadre de notre organisation et des principes qui la régissent", ont expliqué l'ensemble des membres siégeant à la CEC.

Des faits qui alertent le commissaire aux comptes

Reste qu'Ivan Hoareau n'avait pas répondu point par point aux accusations portées à son encontre. Joint par téléphone, le secrétaire général de la CGTR a accepté de nous donner sa version des faits. "Je ne vais pas étaler des divergences d'ordre interne", explique Ivan Hoareau. Des accusations qui laissent de marbre le secrétaire de la CGTR. A en croire Ivan Hoareau, il posséderait des dossiers sur les deux secrétaires de l'Union Régionale Sud. "Je pourrais en sortir de très belles sur ces deux personnes", lâche-t-il.

Reste que les faits détaillés dans la presse ont alerté le commissaire aux comptes en charge de vérifier les comptes de la CGTR. "Il m'a demandé de le voir (une rencontre qui s'est déroulée hier matin ndlr). Il est venu s'enquérir des faits relatés dans la presse. S'il y avait eu malveillance, il aurait saisi le procureur de la République. Lorsque l'on s'est quitté, tout s'est bien passé", poursuit le secrétaire général de la CGTR.

Moins prolixe sur sa facture de téléphone, même s'il a expliqué à nos confrères du Quotidien qu'il s'était engagé à la rembourser, Ivan Hoareau revient sur son véhicule mis à disposition par la CGTR. "En tant qu'ancien DGS de mairie, j'avais un véhicule de fonction. Quand je suis arrivé à la CGTR en 1996, on s'est entendu sur la voiture. Pour le modèle avancé (une DS4 de la marque Citroën), c'est faux. C'est une C4. Enfin sur le fait que je l'ai changée, cela se fait automatiquement dans le cas d'une LLD (Location longue durée). Ce changement n'a eu aucun impact financier", tient à préciser Ivan Hoareau.

En attendant, Ivan Hoareau reste sur sa même ligne de conduite. "Je continue à marcher la tête haute".

27.Posté par Joar le 10/01/2020 08:20 (depuis mobile)

En matière de justice nous savons qu''il faut du temps. L''équipe actuelle s''est emparée du dossier, ne l''a pas caché, je lui fais confiance pour régler l''affaire, certainement pas à des gens ayant appartenu à l''équipe qui a généré le problème!!!

28.Posté par Quelles promesses ? le 10/01/2020 08:29

Trois articles de mister Fois en trois jours à l encontre de Madame Miranville. Qu a donc promis cette dernière a Mister sachant qu ils étaient en très bon termes il n y a pas si longtemps ? N était ce pas le pote à Fois qui était chargé de régler ses litiges ? nous allons en apprendre des vertes et des pas mûres.

29.Posté par babeuf le 10/01/2020 13:25

Qu'attend le zélé collectif anti-paillottes de l'Hermitage pour manifester devant la porte de ces nantis qui empiètent sur l'espace public?

Sans doute approuvent-ils l'accaparation de terre par leurs amis du même bord qu'eux !

30.Posté par Et notre cher Mr FOIS annonce son indispensable soutien à... le 10/01/2020 13:35

Que de ridicule dans cette manœuvre Ti'Pierre !
A ton âge et avec ton histoire, il grand temps que tu t'achètes une conscience et que tu te décides soit à t'engager enfin réellement pour le bien commun soit à assumer pleinement ta face libéral capitaliste.
Quoi qu'il en soit, fais le IN-TELLI-GE-MMENT et avec la sincérité du CŒUR au lieu de rester dans ces sordides méthodes de pouilleux.

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