Une première phase de consultation dans les territoires doit avoir lieu entre octobre et novembre et une seconde phase d’ateliers se prolongera jusqu’en janvier, a indiqué Annick Girardin. "Cela permettra de produire le livre bleu outre mer d’ici la fin du mois d’avril et de traduire dans la loi, si besoin, les ambitions et projets qui en ressortiront".
Sept mois, trois étapes
Trois étapes jalonneront les sept mois de ces assises. La première, une phase de diagnostic à laquelle il est déjà possible de participer, et ce jusqu’au 22 novembre, permet aux internautes de mettre en avant les priorités souhaitées pour leur territoire, en classant par ordre d’importance les grands chantiers à mener : équipements publics, développement économique, emploi, environnement, santé, culture, jeunesse, sécurité et protection des populations.
En parallèle, du 18 octobre au 31 janvier, un concours d’innovation est ouvert. Les porteurs de projets peuvent y déposer leurs idées en faveur du territoire. Les dossiers reçus seront soumis à partir du 15 janvier (et jusqu’au 28 février) à une consultation numérique. Une fois encore, chaque Ultramarin pourra soumettre son opinion et son avis dessus afin d’en déterminer les plus pertinents.
Enfin, à partir du 1er mars, après pré-sélection, les projets retenus seront de nouveau soumis au public. Il votera pour en désigner les meilleurs jusqu’au 30 avril. Une sélection finale sera alors effectuée en tenant compte de l’avis des votants. Les lauréats – auréolés d’un label "outre-mer" - seront dévoilés le 15 mai.
Les Assises de l’outre-mer entremêlent donc deux piliers : les citoyens emmenés à s’exprimer au sujet de leurs territoires et à proposer des projets, les rendant acteurs du développement ; ainsi qu’un pilier institutionnel, constitué des services de l’État, d’élus locaux et de "forces vives de l’outre-mer", comme les décrit le ministère.
Sept mois, trois étapes
Trois étapes jalonneront les sept mois de ces assises. La première, une phase de diagnostic à laquelle il est déjà possible de participer, et ce jusqu’au 22 novembre, permet aux internautes de mettre en avant les priorités souhaitées pour leur territoire, en classant par ordre d’importance les grands chantiers à mener : équipements publics, développement économique, emploi, environnement, santé, culture, jeunesse, sécurité et protection des populations.
En parallèle, du 18 octobre au 31 janvier, un concours d’innovation est ouvert. Les porteurs de projets peuvent y déposer leurs idées en faveur du territoire. Les dossiers reçus seront soumis à partir du 15 janvier (et jusqu’au 28 février) à une consultation numérique. Une fois encore, chaque Ultramarin pourra soumettre son opinion et son avis dessus afin d’en déterminer les plus pertinents.
Enfin, à partir du 1er mars, après pré-sélection, les projets retenus seront de nouveau soumis au public. Il votera pour en désigner les meilleurs jusqu’au 30 avril. Une sélection finale sera alors effectuée en tenant compte de l’avis des votants. Les lauréats – auréolés d’un label "outre-mer" - seront dévoilés le 15 mai.
Les Assises de l’outre-mer entremêlent donc deux piliers : les citoyens emmenés à s’exprimer au sujet de leurs territoires et à proposer des projets, les rendant acteurs du développement ; ainsi qu’un pilier institutionnel, constitué des services de l’État, d’élus locaux et de "forces vives de l’outre-mer", comme les décrit le ministère.