Troisième jour de grève au CHU de La Réunion. Ce jeudi matin, les grévistes lancent une action sur le Barachois. Ils interpellent les automobilistes sur leur mouvement et font signer une pétition. "Nous avons déjà eu 6000 signatures, annonce Leonel Camatchy, président de la section CFTC, tout do moun i adère".
Une action qui occasionne d'importants embouteillages dans le secteur mais également depuis la route du Littoral côté Ouest et depuis la Jamaïque à l'Est. Et les grévistes ne sont pas près de s'arrêter. Après avoir demander au directeur de l'ARS, François Maury, d'interpeller la ministre de la santé, Marisol Tourraine, puis au préfet de faire de même, ils attendent aujourd'hui une réponse du ministère. Les grévistes demandent toujours qu'aucun lit ni poste ne soit supprimé et qu'une aide de l'État puisse faire baisser le déficit du CHU de 30 millions d'euros à 10 ou 15 millions.
"Il s'agit de conditions de travail, de la santé des Réunionnais et la qualité des soins", termine Leonel Camatchy.
Une action qui occasionne d'importants embouteillages dans le secteur mais également depuis la route du Littoral côté Ouest et depuis la Jamaïque à l'Est. Et les grévistes ne sont pas près de s'arrêter. Après avoir demander au directeur de l'ARS, François Maury, d'interpeller la ministre de la santé, Marisol Tourraine, puis au préfet de faire de même, ils attendent aujourd'hui une réponse du ministère. Les grévistes demandent toujours qu'aucun lit ni poste ne soit supprimé et qu'une aide de l'État puisse faire baisser le déficit du CHU de 30 millions d'euros à 10 ou 15 millions.
"Il s'agit de conditions de travail, de la santé des Réunionnais et la qualité des soins", termine Leonel Camatchy.