Cela fait 15 jours que ce bébé de 8 mois est en réanimation à saint-Pierre, dans le coma. Sa mère, atteinte de diabète insulino-dépendant est soupçonnée de lui avoir volontairement injecté de l'insuline, jusqu'à la surdose tragique. Le cerveau du bébé est détruit par la grave hypoglycémie induite par la dose monumentale d'insuline retrouvée dans le petit corps à son arrivée aux urgences.
La mère nie avoir fait les trois piqûres constatées sur la cuisse du tout petit. Elle aurait même, selon le Quotidien, suggéré une maladie rare, qui expliquerait la dose monumentale d'insuline que les médecins ont constatée, éberlués. Les médecins urgentistes avaient fait une batterie de tests, redoutant le syndrôme du bébé secoué. Ils ont prévenu les autorités dès l'arrivée des résultats d'analyses sanguines, le taux d'insuline étant ahurissant.
Le père a rapidement été mis hors de soupçon, tandis que la mère est mise en examen pour empoisonnement sur mineur de moins de 15 ans. Une expertise psychiatrique sera effectuée sur la mère, qui persiste à nier, et aurait eu une enfance très douloureuse, placée dès son plus jeune âge, et souffrant d'un manque affectif. Son avocate a obtenu qu'elle soit remise en liberté sous contrôle judiciaire, mais la jeune femme de 31 ans, enceinte, a interdiction d'être en contact avec son conjoint et son bébé.
La mère nie avoir fait les trois piqûres constatées sur la cuisse du tout petit. Elle aurait même, selon le Quotidien, suggéré une maladie rare, qui expliquerait la dose monumentale d'insuline que les médecins ont constatée, éberlués. Les médecins urgentistes avaient fait une batterie de tests, redoutant le syndrôme du bébé secoué. Ils ont prévenu les autorités dès l'arrivée des résultats d'analyses sanguines, le taux d'insuline étant ahurissant.
Le père a rapidement été mis hors de soupçon, tandis que la mère est mise en examen pour empoisonnement sur mineur de moins de 15 ans. Une expertise psychiatrique sera effectuée sur la mère, qui persiste à nier, et aurait eu une enfance très douloureuse, placée dès son plus jeune âge, et souffrant d'un manque affectif. Son avocate a obtenu qu'elle soit remise en liberté sous contrôle judiciaire, mais la jeune femme de 31 ans, enceinte, a interdiction d'être en contact avec son conjoint et son bébé.