Le communiqué d'Attac Réunion :
Face à l’agence de Pôle-Emploi à Piton Saint-Leu, la Police, en nombre, contraint manu militari les manifestant.es à se déplacer dans la « zone de manifestation » (selon les propres mots du chef de Police) et les escorte un à un pour les y conduire. Dans ladite zone, deux camions de police se sont positionnés pour faire écran et ainsi cacher les manifestant.es de la vue du cortège ministériel !
La peur des casseroles a encore frappé !
Le ridicule de cet isolement systématique de tout ce qui bouge atteste de la rupture totale de la Première ministre avec la population réunionnaise reléguée ici à plus de 200 m de l’agence de Pôle-Emploi comme il a été fait pour tous les autres rendez-vous de la visite d’Elisabeth Borne.
« Non, Madame la Première ministre, ce n’est pas comme ça que vous irez à la rencontre des Réunionnais.es ! Ecoutez-les d’abord ! Même si les casseroles ne vous plaisent pas. »
La solution de l’emploi à La Réunion n’est sûrement pas de faire travailler deux ans de plus les séniors alors que des jeunes sont sans emploi.
Attac-Réunion
Face à l’agence de Pôle-Emploi à Piton Saint-Leu, la Police, en nombre, contraint manu militari les manifestant.es à se déplacer dans la « zone de manifestation » (selon les propres mots du chef de Police) et les escorte un à un pour les y conduire. Dans ladite zone, deux camions de police se sont positionnés pour faire écran et ainsi cacher les manifestant.es de la vue du cortège ministériel !
La peur des casseroles a encore frappé !
Le ridicule de cet isolement systématique de tout ce qui bouge atteste de la rupture totale de la Première ministre avec la population réunionnaise reléguée ici à plus de 200 m de l’agence de Pôle-Emploi comme il a été fait pour tous les autres rendez-vous de la visite d’Elisabeth Borne.
« Non, Madame la Première ministre, ce n’est pas comme ça que vous irez à la rencontre des Réunionnais.es ! Ecoutez-les d’abord ! Même si les casseroles ne vous plaisent pas. »
La solution de l’emploi à La Réunion n’est sûrement pas de faire travailler deux ans de plus les séniors alors que des jeunes sont sans emploi.
Attac-Réunion