Tête de file du MEDEF Réunion pour les prochaines élections à la Chambre de commerce et d’industrie, Arzou Mahamadaly a dévoilé ce jeudi son programme au siège de son syndicat. Le patron de la Sogecore, qui souhaite "redonner la CCIR aux entreprises", veut mettre fin au "mélange des genres en cours à la chambre consulaire".
En cas de succès le 2 novembre prochain, Arzou Mahamadaly veut mettre en place des "actions concrètes" pour les entreprises, en les accompagnant de leur création jusqu’à leur transmission, en passant par leur développement. "Nous avons une vraie stratégie et pas justes des actions inopinées", indique-t-il, assurant qu’en cas de victoire, son équipe fera un audit sur la situation financière "réelle" de la CCIR. "À partir de là, nous aurons une idée sur les pistes à privilégier pour redresser la Chambre de commerce", poursuit-il.
En cas de succès le 2 novembre prochain, Arzou Mahamadaly veut mettre en place des "actions concrètes" pour les entreprises, en les accompagnant de leur création jusqu’à leur transmission, en passant par leur développement. "Nous avons une vraie stratégie et pas justes des actions inopinées", indique-t-il, assurant qu’en cas de victoire, son équipe fera un audit sur la situation financière "réelle" de la CCIR. "À partir de là, nous aurons une idée sur les pistes à privilégier pour redresser la Chambre de commerce", poursuit-il.
Arzou Mahamadaly - Élections CCIR 2016 by Zinfos974 on Scribd
Une Chambre de commerce qui n’a "rien fait" durant les six années de la mandature Patel ajoute Arzou Mahamadaly, hormis "de l’opportunisme". "Depuis six ans, les projets n’ont pas abouti, comme le carburant professionnel, ou la coopérative. On s’est attaché durant ces six années à céder les actifs de la CCIR, comme la société portuaire vendue à 900 000 euros seulement. C’est de l’amateurisme", regrette-t-il.
"Ibrahim Patel n’a fait que vendre des terrains pour faire fonctionner la CCIR. Pour un chef d’entreprise ce n’est pas acceptable. Une fois oui, mais pas tout le temps", ajoute Arzou Mahamadaly, qui craint que si la CCIR continue sur cette voie pendant cinq années supplémentaires avec un second mandat Patel, elle sera "ruinée".
"Ibrahim Patel n’a fait que vendre des terrains pour faire fonctionner la CCIR. Pour un chef d’entreprise ce n’est pas acceptable. Une fois oui, mais pas tout le temps", ajoute Arzou Mahamadaly, qui craint que si la CCIR continue sur cette voie pendant cinq années supplémentaires avec un second mandat Patel, elle sera "ruinée".