
Des parents avaient manifesté devant l'école le 8 novembre dernier
Mardi dernier, une cinquantaine de parents mécontents avaient manifesté devant l'école Hégésippe Hoarau, à La Rivière Saint-Louis. Suite à ce mouvement, une délégation de quatre parents élus étaient reçue ce mercredi, à la mairie, en présence du premier magistrat Patrick Malet, du directeur de l'école, et de l'adjoint aux affaires scolaires.
"Nos revendications ont été prises au sérieux" se réjouit une mère d'élève ayant pris part à cette réunion de plus de deux heures. "Les choses avancent. Des travaux d'entretien courant doivent être réalisés dans les 15 jours", indique-t-elle. Si les parents ont aussi obtenu le renouvellement de deux contrats d'assistantes maternelles et d'une personne polyvalente, ils regrettent par contre qu'il s'agisse de contrats de travail temporaires. "Cela ne fait que reporter le problème. Les enfants sont entre 29 et 31 par classe, c'est énorme, il y a besoin de personnel. D'autant plus que les effectifs ne cessent d'augmenter".
"C'est propice à la propagation de la gale"
Pour ce qui est de la commission de sécurité revendiquée, celle-ci leur a été accordée pour le mois de mars. "La commune sait que si la commission vient maintenant, elle constatera que les normes ne sont pas respectées et l'école devrait fermer". Les parents se satisfont ainsi de la proposition mais disent rester attentif. "Si ce n'est pas fait, on remontera au créneau". Par ailleurs, la police municipale devrait mettre à disposition dès ce jeudi un agent pour faire la circulation à l'entrée et la sortie des classes.
Enfin, alors que des cas de gale ont été constatés, la mairie aurait accepté de budgéter sur 2017 la fourniture de lits amovibles nettoyables. "Ce sont actuellement des matelas fournis par les parents, entassés les uns sur les autres à même le sol ! C'est propice à la propagation de la gale", indique la mère d'élève, pour qui la mairie a, sur ce sujet, pratiqué "la politique de l'autruche". "La mairie s'est aussi engagée à fournir du savon pour les toilettes de toutes les écoles, lesquelles n'en étaient pas encore équipées (selon ses déclarations, ndlr), ainsi que plus de papier toilette. La situation dans laquelle les enfants étaient jusque-là est ahurissante", ajoute-t-elle encore.
"Nos revendications ont été prises au sérieux" se réjouit une mère d'élève ayant pris part à cette réunion de plus de deux heures. "Les choses avancent. Des travaux d'entretien courant doivent être réalisés dans les 15 jours", indique-t-elle. Si les parents ont aussi obtenu le renouvellement de deux contrats d'assistantes maternelles et d'une personne polyvalente, ils regrettent par contre qu'il s'agisse de contrats de travail temporaires. "Cela ne fait que reporter le problème. Les enfants sont entre 29 et 31 par classe, c'est énorme, il y a besoin de personnel. D'autant plus que les effectifs ne cessent d'augmenter".
"C'est propice à la propagation de la gale"
Pour ce qui est de la commission de sécurité revendiquée, celle-ci leur a été accordée pour le mois de mars. "La commune sait que si la commission vient maintenant, elle constatera que les normes ne sont pas respectées et l'école devrait fermer". Les parents se satisfont ainsi de la proposition mais disent rester attentif. "Si ce n'est pas fait, on remontera au créneau". Par ailleurs, la police municipale devrait mettre à disposition dès ce jeudi un agent pour faire la circulation à l'entrée et la sortie des classes.
Enfin, alors que des cas de gale ont été constatés, la mairie aurait accepté de budgéter sur 2017 la fourniture de lits amovibles nettoyables. "Ce sont actuellement des matelas fournis par les parents, entassés les uns sur les autres à même le sol ! C'est propice à la propagation de la gale", indique la mère d'élève, pour qui la mairie a, sur ce sujet, pratiqué "la politique de l'autruche". "La mairie s'est aussi engagée à fournir du savon pour les toilettes de toutes les écoles, lesquelles n'en étaient pas encore équipées (selon ses déclarations, ndlr), ainsi que plus de papier toilette. La situation dans laquelle les enfants étaient jusque-là est ahurissante", ajoute-t-elle encore.
Si les promesses faites ce matin ont en partie satisfait les parents, ceux-ci déclarent rester "mobilisés et vigilants", se souvenant de "promesses non tenues par le passé".