La peur autour du virus Ebola n’est pas prête de se résorber. Selon une nouvelle carte publiée lundi dans le journal eLife, des chercheurs de l’Université d’Oxford ont recensé une vingtaine de pays à risque. Parmi eux, on retrouve Madagascar.
Les scientifiques de l’université britannique ont étudié les facteurs environnementaux de cette vingtaine de pays tels que la température, la végétation ou la distribution des chauves-souris, soupçonnée d’être les « réservoirs naturels » du virus Ebola.
Ils ont constaté dans une trentaine de cas qu’une transmission du virus de l’animal à l’homme était possible, notamment en Angola, au Burundi, au Cameroun, en Ethiopie, au Ghana, au Libéria, à Madagascar, au Malawi, au Mozambique, au Nigeria, en République Centrafricaine, au Rwanda, en Sierra Leone, en Tanzanie et au Togo.
