La paralysie qui touche l'Ecole supérieure d'art de la Réunion interpelle les élus. Nombreux sont ceux à avoir pris fait et cause pour le personnel de l'établissement et ses étudiants.
"J'apporte mon soutien à l'équipe pédagogique et aux étudiants car pour moi, les propos qui ont été tenus, sont inadmissibles (voir ici )", déclare Monique Orphé, députée de la 6e circonscription.
"Je ne peux pas, en tant que députée, cautionner ces propos. C'est pour cela que j'ai demandé à ce qu'une enquête soit menée, pour voir s'ils sont avérés et pour qu'il y ait, derrière, une sanction. Ensuite, sur le fond, je vois qu'au bout de deux ans d'existence de l'établissement (ndlr: l'ESAR était régi avant cela sous une forme associative), il est temps aujourd'hui qu'on arrive à trouver un fonctionnement apaisé et ce d'ans l'intérêt des étudiants réunionnais. Il y va de leur avenir. Je vais m'impliquer dans ce dossier aux côtés d'Huguette Bello", poursuit-elle. Monique Orphé promet d'alerter le ministère de la Culture si le message adressé au préfet ne suffisait pas.
Du côté du PLR d'Huguette Bello justement, on parle d'"un mouvement utile". "Ces étudiants manifestent pour la bonne cause parce qu'ils ont envie de travailler dans un environnement serein, dans un environnement qui leur permette de faciliter leur créativité, de développer leur envie de réussir", assure de son soutien Olivier Hoareau, conseiller d'opposition du Port (PLR) qui a fait le déplacement, quelques minutes après la députée-maire de Saint-Paul. Henri Hyppolite, adjoint portois en avait fait de même dans la matinée.
"J'apporte mon soutien à l'équipe pédagogique et aux étudiants car pour moi, les propos qui ont été tenus, sont inadmissibles (voir ici )", déclare Monique Orphé, députée de la 6e circonscription.
"Je ne peux pas, en tant que députée, cautionner ces propos. C'est pour cela que j'ai demandé à ce qu'une enquête soit menée, pour voir s'ils sont avérés et pour qu'il y ait, derrière, une sanction. Ensuite, sur le fond, je vois qu'au bout de deux ans d'existence de l'établissement (ndlr: l'ESAR était régi avant cela sous une forme associative), il est temps aujourd'hui qu'on arrive à trouver un fonctionnement apaisé et ce d'ans l'intérêt des étudiants réunionnais. Il y va de leur avenir. Je vais m'impliquer dans ce dossier aux côtés d'Huguette Bello", poursuit-elle. Monique Orphé promet d'alerter le ministère de la Culture si le message adressé au préfet ne suffisait pas.
Du côté du PLR d'Huguette Bello justement, on parle d'"un mouvement utile". "Ces étudiants manifestent pour la bonne cause parce qu'ils ont envie de travailler dans un environnement serein, dans un environnement qui leur permette de faciliter leur créativité, de développer leur envie de réussir", assure de son soutien Olivier Hoareau, conseiller d'opposition du Port (PLR) qui a fait le déplacement, quelques minutes après la députée-maire de Saint-Paul. Henri Hyppolite, adjoint portois en avait fait de même dans la matinée.