
Dur, dur le mois août pour monsieur le député Maire de Saint-leu.
En pleines vacances à Paris, il a dû rentrer précipitamment à la Réunion pour gérer seul le risque requin en réquisitionnant les bâteaux, en tuant de ses propres mains la bête et en achetant lui-même le produit de sa pêche.
Malheureusement,ses efforts n'ont pas été récompensés, pire au lieu de le remercier le surfeur reconnu publiquement que cela devait arriver... patatras, ce qui s'appelle un coup pour rien.
Fort heureusement, la chance (cela dépend de quel côté on se trouve) est avec monsieur le député maire: à une semaine de la rentrée scolaire la crise des contrats-aidés surgit de nulle part, quelle aubaine pour monsieur le député maire: passage dans les médias, lettre d'information aux administrés sur la baisse des contrats-aidés. La rentrée n'aura pas lieu, tant pis pour les enfants, les parents comprendront, les militants en attente de contrats également... patatras, deuxième coup pour rien. Depuis la Martinique le ministre des outre-mers siffle la fin de la récréation et malheur aux récalcitrants. La crise des contrats-aidés est morte-née.
Que monsieur le député maire ne se décourage pas, le mois d'août n'est pas terminé, il aura certainement l'occasion d'exister d'ici là avec des vraies-fausses crises: après avoir géré la crise requins, la crise des contrats-aidés, il devra sans nulle doute gérer la crise marsouins (de Saint-Leu bien évidemment) mais vu les profondeurs où ils se trouvent, il faudra bien plus que des plongeurs... que les volontaires se rassurent cette espèce est bien plus subventionnée.
En pleines vacances à Paris, il a dû rentrer précipitamment à la Réunion pour gérer seul le risque requin en réquisitionnant les bâteaux, en tuant de ses propres mains la bête et en achetant lui-même le produit de sa pêche.
Malheureusement,ses efforts n'ont pas été récompensés, pire au lieu de le remercier le surfeur reconnu publiquement que cela devait arriver... patatras, ce qui s'appelle un coup pour rien.
Fort heureusement, la chance (cela dépend de quel côté on se trouve) est avec monsieur le député maire: à une semaine de la rentrée scolaire la crise des contrats-aidés surgit de nulle part, quelle aubaine pour monsieur le député maire: passage dans les médias, lettre d'information aux administrés sur la baisse des contrats-aidés. La rentrée n'aura pas lieu, tant pis pour les enfants, les parents comprendront, les militants en attente de contrats également... patatras, deuxième coup pour rien. Depuis la Martinique le ministre des outre-mers siffle la fin de la récréation et malheur aux récalcitrants. La crise des contrats-aidés est morte-née.
Que monsieur le député maire ne se décourage pas, le mois d'août n'est pas terminé, il aura certainement l'occasion d'exister d'ici là avec des vraies-fausses crises: après avoir géré la crise requins, la crise des contrats-aidés, il devra sans nulle doute gérer la crise marsouins (de Saint-Leu bien évidemment) mais vu les profondeurs où ils se trouvent, il faudra bien plus que des plongeurs... que les volontaires se rassurent cette espèce est bien plus subventionnée.