L’ancienne n°1 mondiale, la Russe Maria Sharapova, a annoncé lundi 7 mars qu’elle avait fait l’objet d’un contrôle antidopage positif lors de l’Open d’Australie en janvier.
Au cours d’une conférence de presse donnée à Los Angeles, Maria Sharapova a indiqué qu’elle prenait depuis 2006 un produit pour lutter contre le diabète, qui était apparu depuis fin décembre sur la liste des produits prohibés par l’Agence mondiale antidopage (AMA). "Ce médicament n'était pas sur la liste des produits prohibés par l'Agence mondiale antidopage, mais le règlement a changé le 1er janvier dernier et ce médicament est devenu un produit prohibé, ce que je ne savais pas", a déclaré la Russe, qui ajoute être "pleinement responsable". "J'ai fait une énorme erreur, j'ai reçu un mail de l'Agence mondiale antidopage fin décembre et je n'ai pas contrôlé la liste", a-t-elle ajouté.
La Fédération internationale de tennis a annoncé peu après cette conférence de presse de Maria Sharapova, que cette dernière était "suspendue à titre provisoire à partir du 12 mars en attendant le déroulement de la procédure".
Son équipementier sportif, Nike, a indiqué dans la nuit suspendre ses liens avec la joueuse "le temps de l'enquête".
Malgré ces révélations, Maria Sharapova a réaffirmé qu’elle ne souhaitait pas "finir sa carrière de cette façon", et qu’elle espère "avoir la chance de rejouer".
Au cours d’une conférence de presse donnée à Los Angeles, Maria Sharapova a indiqué qu’elle prenait depuis 2006 un produit pour lutter contre le diabète, qui était apparu depuis fin décembre sur la liste des produits prohibés par l’Agence mondiale antidopage (AMA). "Ce médicament n'était pas sur la liste des produits prohibés par l'Agence mondiale antidopage, mais le règlement a changé le 1er janvier dernier et ce médicament est devenu un produit prohibé, ce que je ne savais pas", a déclaré la Russe, qui ajoute être "pleinement responsable". "J'ai fait une énorme erreur, j'ai reçu un mail de l'Agence mondiale antidopage fin décembre et je n'ai pas contrôlé la liste", a-t-elle ajouté.
La Fédération internationale de tennis a annoncé peu après cette conférence de presse de Maria Sharapova, que cette dernière était "suspendue à titre provisoire à partir du 12 mars en attendant le déroulement de la procédure".
Son équipementier sportif, Nike, a indiqué dans la nuit suspendre ses liens avec la joueuse "le temps de l'enquête".
Malgré ces révélations, Maria Sharapova a réaffirmé qu’elle ne souhaitait pas "finir sa carrière de cette façon", et qu’elle espère "avoir la chance de rejouer".