C'est une très bonne nouvelle pour les Républicains (mais pas tous), une catastrophe pour les Démocrates et un choc pour tous. Donald Trump, contre toute attente, a été élu président des États-Unis en récoltant les 270 voix de grands électeurs requises (288 selon les derniers chiffres).
Critiqué pour ses idées sur l'immigration et ses commentaires sur les femmes, le milliardaire a su pour autant séduire les Américains désenchantés par le gouvernement actuel.
Les conséquences pour les États-Unis et le monde sont encore incertaines. Les sans-papiers seront-ils expulser du pays? Un mur sera-t-il construit à la frontière avec le Mexique ? Les musulmans seront-ils interdits d’entrer aux États-Unis ? Y aura-t-il une réduction d’impôts ? La lutte contre Daesh sera-t-elle intensifiée ? Il ne reste plus qu’à attendre.
Arrivé dans la nuit au QG électoral pour s'adresser à ses militants, aux Américains et au monde, il a commencé avant tout par féliciter Hillary Clinton: "Je la félicite pour sa campagne et son travail". A la différence de l'image de ces derniers mois, Trump a continué: "Il faut maintenant panser les blessures de la division et il faut se rassembler en un peuple uni. Je promets que je serai le président de tous les Américains. Et à ceux qui ne m'ont pas soutenu - et il y en a quelques uns - je demande votre aide et vos conseils".
Il promet de reconstruire les infrastructures du pays et relancer l'économie en doublant la croissance. "Rien n'est impossible", ajoute-t-il. Il a également évoqué ses relations avec les pays étrangers: "Nous allons avoir de bonnes relations avec les autres nations. Nous allons chercher le partenariat et non le conflit d'autres pays, même si les États-Unis seront placés avant tout".
Calme, serein et humble, Donald Trump a dû encore en surprendre plus d'un.
Critiqué pour ses idées sur l'immigration et ses commentaires sur les femmes, le milliardaire a su pour autant séduire les Américains désenchantés par le gouvernement actuel.
Les conséquences pour les États-Unis et le monde sont encore incertaines. Les sans-papiers seront-ils expulser du pays? Un mur sera-t-il construit à la frontière avec le Mexique ? Les musulmans seront-ils interdits d’entrer aux États-Unis ? Y aura-t-il une réduction d’impôts ? La lutte contre Daesh sera-t-elle intensifiée ? Il ne reste plus qu’à attendre.
Arrivé dans la nuit au QG électoral pour s'adresser à ses militants, aux Américains et au monde, il a commencé avant tout par féliciter Hillary Clinton: "Je la félicite pour sa campagne et son travail". A la différence de l'image de ces derniers mois, Trump a continué: "Il faut maintenant panser les blessures de la division et il faut se rassembler en un peuple uni. Je promets que je serai le président de tous les Américains. Et à ceux qui ne m'ont pas soutenu - et il y en a quelques uns - je demande votre aide et vos conseils".
Il promet de reconstruire les infrastructures du pays et relancer l'économie en doublant la croissance. "Rien n'est impossible", ajoute-t-il. Il a également évoqué ses relations avec les pays étrangers: "Nous allons avoir de bonnes relations avec les autres nations. Nous allons chercher le partenariat et non le conflit d'autres pays, même si les États-Unis seront placés avant tout".
Calme, serein et humble, Donald Trump a dû encore en surprendre plus d'un.

