Jugé depuis hier à la cour d’appel de Paris, Naïl Varatchia risque de voir sa peine de 7 ans de prison pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste être alourdie.
En effet, le prédicateur réunionnais encourt trois années de prison supplémentaires, soit 10 ans de prison, la peine maximale pour les faits qui lui sont reprochés.
Surnommé « l’Egyptien », Naïl Varatchia a tenu la même ligne de défense lors de l’audience, assurant que son soutien à une organisation terroriste était une « erreur de jeunesse » (JIR).
Le délibéré sera rendu le 4 octobre prochain.