Aujourd’hui fixée à 1 mètre, la distance préconisée entre deux personnes pour réduire le risque de contamination passe à 2 mètres.
Le Haut conseil de la santé publique préconise de s’éloigner d’au moins 2 mètres pour se parler sans masque dans l’espace privé. Cette préconisation est actualisée au vu de la progression en France de nouveaux variants du virus, plus contagieux.
Comme expliqué depuis le début de la pandémie, la principale transmission du Covid-19 se fait via "des gouttelettes respiratoires tombant sur d’autres ou sur des surfaces", selon une étude britannique, réalisée par le Centre for Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford. Mécaniquement, le risque de transmission diminue à mesure que la distance physique augmente entre les personnes. Une étude publiée dans la revue scientifique The Lancet conclut que le risque d’être infecté par divers types de coronavirus est de 13% en étant situé à moins d’1 mètre et seulement de 3% au-delà de cette distance.
L’étude du CEBM observe que même 2 mètres ne sont parfois pas suffisants, compte tenu du fait que "de plus petites gouttelettes en suspension chargées de SRAS-CoV-2 peuvent se propager jusqu’à 8 mètres".
Le HCSP a aussi recommandé vendredi d'éviter de parler et de téléphoner dans les transports en commun, même masqué, étant donné que la distanciation physique est très compliquée à respecter.
Le Haut conseil de la santé publique préconise de s’éloigner d’au moins 2 mètres pour se parler sans masque dans l’espace privé. Cette préconisation est actualisée au vu de la progression en France de nouveaux variants du virus, plus contagieux.
Comme expliqué depuis le début de la pandémie, la principale transmission du Covid-19 se fait via "des gouttelettes respiratoires tombant sur d’autres ou sur des surfaces", selon une étude britannique, réalisée par le Centre for Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford. Mécaniquement, le risque de transmission diminue à mesure que la distance physique augmente entre les personnes. Une étude publiée dans la revue scientifique The Lancet conclut que le risque d’être infecté par divers types de coronavirus est de 13% en étant situé à moins d’1 mètre et seulement de 3% au-delà de cette distance.
L’étude du CEBM observe que même 2 mètres ne sont parfois pas suffisants, compte tenu du fait que "de plus petites gouttelettes en suspension chargées de SRAS-CoV-2 peuvent se propager jusqu’à 8 mètres".
Le HCSP a aussi recommandé vendredi d'éviter de parler et de téléphoner dans les transports en commun, même masqué, étant donné que la distanciation physique est très compliquée à respecter.