Revenir à la rubrique : Faits divers

Disparition du petit Marcus: Les recherches se poursuivent

Les recherches se poursuivent pour retrouver Marcus, le petit Réunionnais âgé de deux ans, porté disparu depuis vendredi à Butry-sur-Oise dans le Val d’Oise. Alors que sa maman se trouvait dans la maison, le petit garçon jouait sur la terrasse. Puis plus rien. Plongeurs dans la rivière, hélicoptères dans le ciel et la police qui […]

Ecrit par zinfos974 – le dimanche 26 avril 2015 à 09H02

Les recherches se poursuivent pour retrouver Marcus, le petit Réunionnais âgé de deux ans, porté disparu depuis vendredi à Butry-sur-Oise dans le Val d’Oise. Alors que sa maman se trouvait dans la maison, le petit garçon jouait sur la terrasse. Puis plus rien.

Plongeurs dans la rivière, hélicoptères dans le ciel et la police qui sillonnent la région… Depuis samedi les recherches ne cessent, en vain. La maison se trouve à une centaine de mètres d’une rivière. Les enquêteurs n’écartent pas l’hypothèse de l’accident car pour le moment, aucun élément ne prouve un enlèvement.

Pierrick, le père de Marcus, actuellement à La Réunion, souhaite rejoindre sa femme et lance un appel aux dons. Pour le contacter: 0692 86 86 00.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Un incendie se déclare dans un immeuble SIDR à Saint-Denis

Ce mercredi peu avant 19 heures, un appartement situé au 1er étage de la résidence SIDR Camp Jacquot situé à l’angle de la rue Camp Jacquot et général de Gaulle à Saint-Denis a pris feu. Les sapeurs pompiers ont déployé la grande échelle pour accéder à l’appartement en proie aux flammes. Fort heureusement, il n’y a pas de blessés à déplorer. Par mesure de précaution, l’ensemble de l’immeuble a été évacué.

Viol d’une prostituée sur la voie publique : L’auteur présumé ne voulait pas payer

Gabriel*, mis en examen le 25 août 2022 pour un viol commis la veille sur une prostituée rencontrée via les réseaux sociaux, a donné des explications variables sur le non paiement de ses services. Il a été décrit par des experts comme ayant des difficultés relationnelles mais sans dangerosité criminelle. Malgré sa demande de libération, la chambre de l’instruction a maintenu sa détention, suivant l’avis du parquet général qui craint qu’il exerce des pressions sur la victime.

Trafic de stupéfiants en bande organisée : 45 kilos de zamal péi retrouvés au domicile d’un cultivateur

Jean-Cédric L., 45 ans, a été arrêté pour avoir cultivé 45 kg de cannabis chez lui, impliqué dans un trafic entre l’Île Maurice et La Réunion. Après un an en détention provisoire, il a été placé sous contrôle judiciaire, mais reste sous les verrous après un appel du parquet. Le réseau d’envergure bien huilé révèle des envois fréquents et volumineux vers Maurice.

Soupçons d’emplois illégaux : Didier Robert, Alfred Ablancourt et Ismaïl Aboudou se défendent à la barre

La deuxième journée du procès des emplois de cabinet de la Région a conforté la défense dans sa contestation de la partialité de l’enquête menée par l’OCLCIFF : les témoins auditionnés ont en effet tous confirmé l’effectivité des missions effectuées par les ex-conseillers techniques Alfred Ablancourt et Ismaïl Aboudou, tandis que le troisième prévenu appelé à la barre, l’ancien président Didier Robert, a martelé sa légitimité, en tant que chef de l’administration, à choisir lui-même les personnes embauchées dans son cabinet. Enfin, le DGS d’alors Mohamed Ahmed, convoqué comme témoin, a souligné qu’un arrêté relatif à l’organisation administrative de la Région avait rattaché certains services au cabinet, sans que cela ne soit contesté ni par le contrôle de la légalité, ni par le tribunal administratif.