Les employés réunionnais du CIRAD (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement) ne seraient pas aussi bien traités que leurs collègues métropolitains. Selon le JIR, le personnel recruté dans l’hexagone bénéficierait de nombreux avantages auxquels les salariés domiens n’ont pas droit. Une différence de traitement qui s’explique par l’existence de deux conventions du personnel distinctes : la convention Dom de 1988 et une autre créée deux mois plus tard pour les agents venus de Métropole.
Les salariés qui "sautent la mer" pour occuper un poste au CIRAD de la Réunion profitent par exemple d’un logement meublé, tous frais payés (eau, électricité, taxe d’habitation). Chaque année, un billet d’avion leur est aussi offert pour leur permettre de rendre visite à leurs proches. Au total, ils bénéficient d'une surémunération de 47%.
A poste égal, traitement inégal… Le personnel local assure ne pas réclamer les mêmes avantages mais souhaite qu’une convention unique soit établie afin de mettre fin aux différences de traitement.
Si les négociations entre les syndicats et la direction parisienne engagées il y a plusieurs mois n’aboutissent pas, le dossier pourrait se terminer aux Prud’hommes.
Les salariés qui "sautent la mer" pour occuper un poste au CIRAD de la Réunion profitent par exemple d’un logement meublé, tous frais payés (eau, électricité, taxe d’habitation). Chaque année, un billet d’avion leur est aussi offert pour leur permettre de rendre visite à leurs proches. Au total, ils bénéficient d'une surémunération de 47%.
A poste égal, traitement inégal… Le personnel local assure ne pas réclamer les mêmes avantages mais souhaite qu’une convention unique soit établie afin de mettre fin aux différences de traitement.
Si les négociations entre les syndicats et la direction parisienne engagées il y a plusieurs mois n’aboutissent pas, le dossier pourrait se terminer aux Prud’hommes.