Le Réunionnais Dimitri Payet, qui joue dans le club de West Ham a été "très proche" des attentats de Paris, si l'on en croit une interview qu'il a accordée au journal britannique The Sun. "C'est une période difficile", a-t-il confié au journal.
On savait que Lassana Diarra (OM) avait perdu sa cousine Asta Diakite dans les attentats du 13 novembre dernier à Paris. De même qu'on savait que la soeur d'Antoine Griezmann (Atletico Madrid), l'avait quant à elle échappé belle. Elle fait partie des personnes ayant pu fuir du Bataclan sans être blessée, tout au moins physiquement.
Mais on ignorait que Dimitri Payet avait lui aussi failli être concerné par les attentats. "C'est une période difficile", a confié le Réunionnais qui se remet difficilement d'une blessure à la cheville consécutive à un tacle trop appuyé d'un joueur d'Everton, blessure qui le tiendra éloigné des terrains pendant trois mois.
"J'ai été très proche de tout ce qui s'est passé. Dans de tels moments, le soutien que peut apporter ce sport est très important. J'ai vu les photos de Wembley (Angleterre-France) en rouge, blanc et bleu. C'est vraiment très spécial. Dans la vie, il y a des choses bien plus graves que les blessures".
"Le plus important pour moi est de pouvoir rejouer au football le plus rapidement possible", souligne Dimitri Payet, encore marqué par les attentats de Paris.
On savait que Lassana Diarra (OM) avait perdu sa cousine Asta Diakite dans les attentats du 13 novembre dernier à Paris. De même qu'on savait que la soeur d'Antoine Griezmann (Atletico Madrid), l'avait quant à elle échappé belle. Elle fait partie des personnes ayant pu fuir du Bataclan sans être blessée, tout au moins physiquement.
Mais on ignorait que Dimitri Payet avait lui aussi failli être concerné par les attentats. "C'est une période difficile", a confié le Réunionnais qui se remet difficilement d'une blessure à la cheville consécutive à un tacle trop appuyé d'un joueur d'Everton, blessure qui le tiendra éloigné des terrains pendant trois mois.
"J'ai été très proche de tout ce qui s'est passé. Dans de tels moments, le soutien que peut apporter ce sport est très important. J'ai vu les photos de Wembley (Angleterre-France) en rouge, blanc et bleu. C'est vraiment très spécial. Dans la vie, il y a des choses bien plus graves que les blessures".
"Le plus important pour moi est de pouvoir rejouer au football le plus rapidement possible", souligne Dimitri Payet, encore marqué par les attentats de Paris.