
Didier Robert qualifie la situation financière de la Région de "stabilisée et satisfaisante". Il prend pour indicateur la capacité d’auto-financement qu’il estime à 165 millions d’euros. "Le ratio est respecté, avec 60% du budget consacré à l’investissement, et 40% au fonctionnement" commente le président de Région sortant.
Un enveloppe globale de 4 milliards d’euros
Au total, il estime que 4 milliards d’euros d’investissement peuvent être engagés en plus du programme en cours depuis 2010. Les recettes de fonctionnement permettent une capacité d’intervention à hauteur de 170 millions d’euros par an. Didier Robert estime avoir la visibilité des projets sur 2020, ayant déjà signé les accords, notamment le contrat liant l’État à la Région en juillet 2014, validés par les parlementaires. "Ils n’ont rien eu à redire des maquettes financières établies" ajoute Didier Robert.
Les engagements financiers sont présentés sous la forme de sept piliers. Le premier étant axé sur la jeunesse. 4,3 millions d’euros seront consacrés, pour la période 2015 à 2021, au passeport réussite (guichet unique d’aides, apprentissage, bourses, prêts).
Le deuxième pilier concerne les grands chantiers réunionnais, avec un milliard d’euros consacré à la finalisation du chantier de la Nouvelle Route du Littoral pour 2019. Le reste de l’enveloppe sera consacré à l’aide aux communes (300 millions d’euros), au développement des pôles d’activité (600 millions d’euros), des lycées (60 millions d’euros), du monorail (140 millions d’euros) au réseau routier (240 millions d’euros) ou encore à la réhabilitation des logements (300 millions d’euros), le traitement des déchets (120 millions d’euros) et enfin le très haut débit à hauteur de 800 millions d’euros. Une marge d’action de 600 millions d’euros supplémentaires a été envisagée pour la NRL, même si "aucun élément objectif ne montre que l’on va vers un dépassement concernant la NRL" précise la tête de liste.
Troisièmement, les résolutions concernant les entreprises concerneront le fiscal et le social : diminution de charges sociales, du RSI et de l’impôt sur les sociétés. Un total de 340 millions d’euros serviront à l’accompagnement direct des entreprises, a-t-il mentionné ce mercredi lors d'un point presse.
Un milliard consacré à la finalisation du chantier de la NRL
En quatrième lieu, l’agriculture est concernée, avec un plan d’aménagement des hauts. La pêche, avec la création d’un fond d’investissement pour la petite pêche de 12 millions d’euros.
Cinquième pilier, le sport et la culture, qui serviront aussi de "tremplin afin d’exporter notre culture, et servir de moteur de développement". Le budget sera doublé, passant au total pour la période à 84 millions d’euros, chiffre le candidat.
En sixième, l’égalité des chances se verra attribuer un budget de 328 millions d’euros, avec le plan ordinateur portable, l’école de la deuxième chance, les emplois verts et la continuité territoriale dans les deux sens.
Enfin, le développement de la politique régionale de coopération se verra allouer un budget de 50 millions d’euros pour des projets comme l’Erasmus Océan Indien ou une compagnie aérienne low-cost pour l’Océan Indien.
Un enveloppe globale de 4 milliards d’euros
Au total, il estime que 4 milliards d’euros d’investissement peuvent être engagés en plus du programme en cours depuis 2010. Les recettes de fonctionnement permettent une capacité d’intervention à hauteur de 170 millions d’euros par an. Didier Robert estime avoir la visibilité des projets sur 2020, ayant déjà signé les accords, notamment le contrat liant l’État à la Région en juillet 2014, validés par les parlementaires. "Ils n’ont rien eu à redire des maquettes financières établies" ajoute Didier Robert.
Les engagements financiers sont présentés sous la forme de sept piliers. Le premier étant axé sur la jeunesse. 4,3 millions d’euros seront consacrés, pour la période 2015 à 2021, au passeport réussite (guichet unique d’aides, apprentissage, bourses, prêts).
Le deuxième pilier concerne les grands chantiers réunionnais, avec un milliard d’euros consacré à la finalisation du chantier de la Nouvelle Route du Littoral pour 2019. Le reste de l’enveloppe sera consacré à l’aide aux communes (300 millions d’euros), au développement des pôles d’activité (600 millions d’euros), des lycées (60 millions d’euros), du monorail (140 millions d’euros) au réseau routier (240 millions d’euros) ou encore à la réhabilitation des logements (300 millions d’euros), le traitement des déchets (120 millions d’euros) et enfin le très haut débit à hauteur de 800 millions d’euros. Une marge d’action de 600 millions d’euros supplémentaires a été envisagée pour la NRL, même si "aucun élément objectif ne montre que l’on va vers un dépassement concernant la NRL" précise la tête de liste.
Troisièmement, les résolutions concernant les entreprises concerneront le fiscal et le social : diminution de charges sociales, du RSI et de l’impôt sur les sociétés. Un total de 340 millions d’euros serviront à l’accompagnement direct des entreprises, a-t-il mentionné ce mercredi lors d'un point presse.
Un milliard consacré à la finalisation du chantier de la NRL
En quatrième lieu, l’agriculture est concernée, avec un plan d’aménagement des hauts. La pêche, avec la création d’un fond d’investissement pour la petite pêche de 12 millions d’euros.
Cinquième pilier, le sport et la culture, qui serviront aussi de "tremplin afin d’exporter notre culture, et servir de moteur de développement". Le budget sera doublé, passant au total pour la période à 84 millions d’euros, chiffre le candidat.
En sixième, l’égalité des chances se verra attribuer un budget de 328 millions d’euros, avec le plan ordinateur portable, l’école de la deuxième chance, les emplois verts et la continuité territoriale dans les deux sens.
Enfin, le développement de la politique régionale de coopération se verra allouer un budget de 50 millions d’euros pour des projets comme l’Erasmus Océan Indien ou une compagnie aérienne low-cost pour l’Océan Indien.