
Ce matin, les membres du CSAPR (Collectif des syndicats et associations professionnels de la Réunion) se sont entretenus pendant plus d'une heure avec le directeur de la CGSS et son adjoint au recouvrement, afin de trouver une solution aux problèmes de saisies effectuées dans les entreprises en situation de dettes sociales.
"On vient ce matin pour demander la suspension de l'exécution des saisies venant de la CGSS", explique Michel Allamèle, membre du CSAPR. Les membres du CSPAR ne demandent pas un gel, ni même un effacement des dettes, mais l'étalement et l'arrêt des saisies.
Une demande finalement entendue par la Sécurité sociale. "On a décidé la suspension de l'exécution des contraintes (ndlr les saisies). Même si les huissiers viennent, il n'y aura pas de saisies", explique Marcel Ogor, directeur du service recouvrement à la CGSS de la Réunion. Ces saisies concernent environ 1.000 entreprises locales aujourd'hui.
Un "ouf" de soulagement pour les membres du CSAPR. Reste que la décision d'autoriser une "suspension" des saisies n'a pour le moment été prise que localement, suite à une décision du Conseil d'administration de la CGSS mercredi dernier, de procéder au recouvrement des dettes sociales auprès de plus de 6.000 entreprises réunionnaises.
Une décision qui pourrait encore ne pas être suivie par le ministère de tutelle....
"On vient ce matin pour demander la suspension de l'exécution des saisies venant de la CGSS", explique Michel Allamèle, membre du CSAPR. Les membres du CSPAR ne demandent pas un gel, ni même un effacement des dettes, mais l'étalement et l'arrêt des saisies.
Une demande finalement entendue par la Sécurité sociale. "On a décidé la suspension de l'exécution des contraintes (ndlr les saisies). Même si les huissiers viennent, il n'y aura pas de saisies", explique Marcel Ogor, directeur du service recouvrement à la CGSS de la Réunion. Ces saisies concernent environ 1.000 entreprises locales aujourd'hui.
Un "ouf" de soulagement pour les membres du CSAPR. Reste que la décision d'autoriser une "suspension" des saisies n'a pour le moment été prise que localement, suite à une décision du Conseil d'administration de la CGSS mercredi dernier, de procéder au recouvrement des dettes sociales auprès de plus de 6.000 entreprises réunionnaises.
Une décision qui pourrait encore ne pas être suivie par le ministère de tutelle....