
Photo d'illustration
"Afin de faciliter l'accès et la mise en oeuvre de ce dispositif, les agences de voyages ont accepté dès le début d'être le partenaire de LADOM en accpetant pour le règlement partiel des billets, les bons de continuité territoriale, ces bons devant ensuite être payés aux agences de voyage par LADOM. Il s'avère que la dette estimée de LADOM envers les agences s'élève à plus de 8 millions d'euros de bons non réglés depuis le début de l'année 2014", explique Catherine Frécaut, présidente du SNAV de la Réunion.
Face au montant de cette dette, certaines agences pourraient "cesser" leur activité dans les prochaines semaines si aucune solution "immédiate" n'était trouvée, selon le syndicat. "Le SNAV a alerté dès juin 2014, l'ensemble des acteurs locaux et nationaux participant à ce dispositif, à savoir LADOM, l'Etat, le président du Conseil régional", poursuit-elle. Une alerte restée pour le moment sans réponse. Les agences de voyages attendent toujours de savoir comment le montant de 8 millions d'euros va leur être remboursé. Face à cette situation, le SNAV a décidé de prendre les devants pour éviter la catastrophe.
"Les agences sont contraintes de suspendre l'acceptation des bons de continuité territoriale en tant que moyen de paiement partiel", souligne Catherine Frécaut.
"Le SNAV appelle les parties en présence à prendre leur responsabilité, de façon à ce qu'une solution concernant le paiement, à la fois des arriérés, et des bons à venir, soit proposée d'ici la fin de la semaine aux agences de voyages, et ce pour permettre la reprise normale des traitements des voyages des Réunionnais", conclut la présidente du SNAV Réunion.
Face au montant de cette dette, certaines agences pourraient "cesser" leur activité dans les prochaines semaines si aucune solution "immédiate" n'était trouvée, selon le syndicat. "Le SNAV a alerté dès juin 2014, l'ensemble des acteurs locaux et nationaux participant à ce dispositif, à savoir LADOM, l'Etat, le président du Conseil régional", poursuit-elle. Une alerte restée pour le moment sans réponse. Les agences de voyages attendent toujours de savoir comment le montant de 8 millions d'euros va leur être remboursé. Face à cette situation, le SNAV a décidé de prendre les devants pour éviter la catastrophe.
"Les agences sont contraintes de suspendre l'acceptation des bons de continuité territoriale en tant que moyen de paiement partiel", souligne Catherine Frécaut.
"Le SNAV appelle les parties en présence à prendre leur responsabilité, de façon à ce qu'une solution concernant le paiement, à la fois des arriérés, et des bons à venir, soit proposée d'ici la fin de la semaine aux agences de voyages, et ce pour permettre la reprise normale des traitements des voyages des Réunionnais", conclut la présidente du SNAV Réunion.