Selon, le microbiologiste français et responsable de l’équipe de chercheurs, Jean-Marie Alempic : "Une partie de la matière organique est constituée de cellules ressuscitées, telles que des procaryotes et les eucaryotes unicellulaires ainsi que des virus restés en sommeil depuis la Préhistoire".
Avec le réchauffement climatique et par conséquent le dégel du permafrost sibérien, les chercheurs craignent que des agents pathogènes parfaitement conservés dans la glace ne soient libérés. Une situation qui pourrait engendrer une catastrophe à l’échelle mondiale puisque ces virus sont une menace pour la santé publique.
Même si le temps de vie des virus n’a pas encore été décelé, les chercheurs évoquent un "danger réel", une fois qu’ils seront exposés à la chaleur et à la lumière. À ce stade, il est encore difficile pour les microbiologistes d’établir la probabilité que ces agents pathogènes aient la capacité à rencontrer et infecter une forme de vie. Ils tirent toutefois la sonnette d’alarme quant aux risques entrainés par la fréquentation humaine de plus en plus importante au sein des pôles.
La question qui reste en suspend : est-ce que la prochaine pandémie après la Covid-19 proviendra des arctiques ?
Autre danger évoqué par le monde scientifique : la grande quantité de matière organique qui se transforme en dioxyde de carbone et en méthane en se réchauffant, aggravant à coup sûr l’effet de serre. Et qui dit effet de serre dit disparition des glaciers des arctiques et montée des eaux à travaux la planète.
Avec le réchauffement climatique et par conséquent le dégel du permafrost sibérien, les chercheurs craignent que des agents pathogènes parfaitement conservés dans la glace ne soient libérés. Une situation qui pourrait engendrer une catastrophe à l’échelle mondiale puisque ces virus sont une menace pour la santé publique.
Même si le temps de vie des virus n’a pas encore été décelé, les chercheurs évoquent un "danger réel", une fois qu’ils seront exposés à la chaleur et à la lumière. À ce stade, il est encore difficile pour les microbiologistes d’établir la probabilité que ces agents pathogènes aient la capacité à rencontrer et infecter une forme de vie. Ils tirent toutefois la sonnette d’alarme quant aux risques entrainés par la fréquentation humaine de plus en plus importante au sein des pôles.
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